Jeu de hasard
La Coupe du monde de football est terminée pour le Cameroun qui a été éliminé au premier tour. Le sélectionneur manager Rigobert Song Bahanag peut désormais se concentrer à autre chose en attendant les prochaines échéances.
Et c’est ce qu’il a fait en faisant la publicité de 1xBet : « Pariez sans risque sur la finale de la Coupe du monde. Trente (30) des équipes qui sont venues au Qatar ne sont plus en jeu. Seules deux (02) ont une chance de devenir les meilleures », a écrit Rigobert Song Bahanag sur sa page Facebook.
« Pour la finale, 1xBet a lancé la promotion Pari sans risque, où vous pouvez parier sur le score correct du match. Si vous perdez, la mise est retournée sous forme de pari gratuit jusqu'à trente (30) dollars. Gagnez avec les meilleurs ! Faites l'inscription gratuite en utilisant le Code Promo : Rigobert1 », informe-t-il dans la suite de son message.
Par la suite, le technicien camerounais a supprimé le post, comme nous le précise le lanceur d’alerte N'zui Manto dans une publication faite il y a plusieurs heures.
« Le coach national du Djambo, Rigobert Song Bahanag a supprimé sa publication appelant les Camerounais à venir côté au terre sur la finale de la Coupe du monde de football qui aura lieu demain entre la France et l'Argentine », lit-on.
Mais surtout, « sa décision de faire disparaître le casino de sa page fait suite à l'indignation collective qui en a suivi. Une mauvaise carte qui aurait pu faire intervenir le big katika la FIFA mettant le vétéran du Djambo hors du tableau ».
En effet, beaucoup de personnes ont catalogué cette publication de Rigobert Song Bahanag de ratée et de dénigrant pour sa personne et le peuple camerounais qui souffre encore de l’élimination des Lions indomptables.
« Rigobert Song Bahanag a un salaire de vingt-sept (27) millions de francs CFA par mois payé par l’Etat du Cameroun. Malgré ça, il continue à faire la promotion du Djambo étant à la tête des Lions indomptables. Vous êtes sûr que ce gars n’a pas vendu nos matchs ? », s’est interrogé Boris Bertolt.
