Cabral Libii
Dans un direct sur sa page Facebook, le député Cabral Libii a fait des révélations sur les soupçons d'empoisonnement du ministre des Mines Dodo Ndoke et le traitement réservé à son corps, depuis que les soupçons d'empoisonnement ont été émises par sa famille.
Selon Cabral Libii, le régime Biya a atteint le summum de la cruauté. Il faudrait le dégager, si les Camerounais, y compris ceux là qui font partie des personnes qui dirigent le pays, ne le chassent pas.
"Oui! Même l'âme de Dodo Ndocke sous la trappe de la cruauté de son régime.
Debout peuple camerounais! L'assassinat de Martinez Zogo est leur ultime forfait. Prenons nos responsabilités Chers frères et sœurs camerounais", écrit le député.
Libii poste également la vidéo ci-dessous, dans laquelle, il exprime son indignation et fait des révélations.
Le Ministre des Mines, de l'Industrie et du Développement Technologique, Dodo Ndoke est décédé dans des circonstances curieuses.
Jusqu'ici le gouvernement Dion Ngute n'a fait aucune communication officielle sur le décès tout aussi trouble et tragique d'un membre de son propre gouvernement. Un silence qui inquiète l'opinion publique déjà si durement éprouvée par l'assassinat de Martinez Zogo, l'un des plus grands noms du journalisme au Cameroun.
« Il est impératif de communiquer, pour rassurer les investisseurs et l'opinion nationale et internationale sur comment fonctionne le ministère des mines en l'absence d'un ministre », indique Shance Lion. « Il y'a des dossiers importants qu'il était entrain de traiter, que deviennent ces dossiers ? », s'interroge-t-il.
« S'il y'a un investisseur qui avait une audience prévue avec le Ministre des Mines, que doit-il faire, vers qui doit-il se tourner désormais ? », poursuit il.
Rappelons qu'en l'espace de 2 semaines, ce Ministre a reçu 2 Ambassadeurs Étrangers, et il devait en recevoir d'autres cette semaine et les semaines à venir pour parler des questions liées à l'exploitation Minière dans notre pays, à quoi doivent s'en tenir ces officiels ? La question se pose.
