Sebastien Ebala
Sebastien Ebala n’est plus à présenter. Il a encore sorti sa sulfateuse et dégainé sur les membres de l’opposition camerounaise qu’il considère comme des complices du régime de Biya
SEBASTIEN EBALLA CRITIQUE L’OPPOSITION COMPLICE DU RÉGIME BIYA.
« Je fais cette tribune pour dénoncer les acteurs politiques complices de la confiscation du pouvoir par le système illégitime depuis le vol de la victoire du président élu Maurice kamto en 202018.
Nous avons constaté que certains responsables de l'opposition passent le clair de leur temps à combattre d'autres pour des raisons de positionnement auprès du système illégitime. Pendant ce temps le pays est dans un état comateux, rien n'avance sur le plan du développement. Aucune pression n'est faite pour mettre dos au mur ce qui disent gouverner. Autre fait marquant, le manque de concertation et des partis de l'opposition.
Pas de cercle de réflexion pour évaluer l'état de pourriture de notre pays dans certains domaines comme les coupures de l'énergie électrique, le manque d'eau dans les robinets sans oublier les cas d'insécurité qui prévaut dans nos grandes villes, Yaoundé, Douala, bafoussam et autres. L'éducation est aussi en lambeau avec les violences orchestrées par des élèves qui se livrent à des défiances telles que la pratique de l'homosexualité, le lesbianisme, la drogue l'alcool et la corruption venant des parents pour soudoyer les enseignants. Tout cela au vu et au su de nos opposant qui regardent faire. Certains qui sont même membres du parlement sont aussi complices. Ce qui les intéresse, c'est leurs émoluments entant que députés.
D'autres sont des agents doubles après plusieurs investigations faits dans certains partis politiques, il ressort que certains responsables des partis en question reçoivent des avantages auprès des responsables du système gouvernant : les marchés publics, les recrutements dans les grandes écoles Les épouses qui gagnent aussi des marchés : traiteurs dans des cérémonies soit privées au publiques. Autre constat fait c'est la source de financement des partis en question beaucoup reçoivent de l'argent à la présidence de la République pour distraire l'opposition dans son ensemble.»
