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Francis Ngannou : la réponse cash de Martin Camus MIMB aux railleurs

Image illustrative

Tue, 6 Jun 2023 Source: www.camerounweb.com

Dans cette opinion libre Martin Camus MIMB soulève la question de la reconnaissance des compétences au-delà des diplômes académiques. Il met en avant l'exemple de Francis Ngannou, champion de MMA, et d'autres personnalités du monde du sport qui suivent un programme de formation en management à la Harvard Business School, sans avoir nécessairement obtenu de diplômes formels.

Martin Camus MIMB articule que de nombreuses universités américaines ont compris l'importance de reconnaître les compétences et l'expertise acquises par les individus dans leurs domaines respectifs, même en l'absence de diplômes traditionnels. En revanche, en Afrique, la priorité est souvent accordée aux diplômes académiques, ce qui peut exclure certains individus talentueux et expérimentés du monde professionnel.

L'auteur propose donc de remettre en question ce modèle et de considérer que les sportifs de haut niveau, par exemple, ont des compétences et des aptitudes qui pourraient leur permettre d'accéder à d'autres niveaux d'enseignement ou de carrière, sans nécessiter de diplômes préalables. Il suggère également que des personnalités telles que l'artiste Petit Pays ou le journaliste Abel Mbengue pourraient partager leurs connaissances et expériences dans des institutions académiques, sans qu'il soit exigé d'eux des diplômes formels.

En conclusion, Martin Camus MIMB invite à une réflexion plus large sur la reconnaissance des compétences au-delà des diplômes, mettant en avant des exemples inspirants tels que celui de Francis Ngannou. Il encourage les universités africaines à adopter une approche plus ouverte et inclusive, permettant à des individus talentueux et expérimentés d'accéder à l'éducation et de partager leur expertise, indépendamment de leur parcours académique traditionnel.



COPIEZ , AU LIEU DE VOUS MOQUER DE NGANNOU !

Je souhaite que sur cette photo, chacun reconnaisse en dehors de Francis NGANNOU, d’autres personnalités du monde du sport et autres qui suivent à la Havard Business School, ce programme de formation en Management. Tous ou presque ont touché les cimes de leurs carrières et d’autres sont même encore en activité comme un international espagnol sur cette photo. L’université leur a ouvert les portes, sans leur demander s’ils ont obtenu le baccalauréat, les Master 8 et autres. Simplement, parce que leurs seules expériences dans leurs domaines, équivalent à un Bacc + 18. Les américains et les grandes universités l’ont compris.

En Afrique, on est encore sur la diplomite, condition préalable pour un accès à des enseignements ou à dispenser des enseignements. Conséquence, les diplômés avec des master 48, arrivent dans le monde professionnel, bourrés par des enseignants qui eux-mêmes, ne savent de ce qu’ils enseignent, que la théorie ingurgitée tout au long de leur cycle ou des morceaux de cours ramassés ici et là. Qu’est-ce qui nous empêche ici de faire la même chose? De considérer qu’un sportif de haut niveau de par les aptitudes a d’office une compétence qui lui permet d’accéder à d’autres niveaux sans préalable de cursus académique ? Qu’est-ce qui empêche que Petit Pays enseigne à la Faculté des arts ou y accéder pour rendre diplomante l’expérience accumulée dans sa carrière ? Pourquoi les sportifs de haut niveau, sans cursus académique connu n’accèderaient t-ils pas à l’Injs sans leur exiger un diplôme secondaire ?

Quel journalisme Abel Mbengue ne peut-il pas expliquer aux étudiants même de huitième année ? Au lieu de vous arrêtez sur les paroles d’un hymne que vous ne connaissez pas vous-mêmes, dites aussi qu’un ancien bendskineur creuseur de sable est admis à Havard. Alooo Université de Yaoundé ? DOUALA ? Institut de la Côte ? Siantou ? IUT? Aloo Aloooo!

Martin Camus MIMB

#NsangNkong

La Plume de Jésus

Source: www.camerounweb.com