Mise sur pied pour agir au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant en hexagone, cette structure est devenue selon de nombreux témoins et victimes, « un réseau pédo criminel bien organisé, et ficelé dans l’État français depuis des décennies ». Des enfants, parmi lesquels de nombreux camerounais, sont arrachés aux parents sous des prétextes plus ou moins fallacieux comme la maltraitance, la violence, ou encore l’alcoolisme et sont conduits dans des foyers, non pas toujours pour y être encadrés, mais pour devenir la cible de toutes sortes de sévices.
Le constat est alarmant, et les nombreux parents qui sont passés à la trappe de ce sombre business n’ont que leurs yeux pour pleurer. Or, originellement, l’Aide Sociale à la France est une structure à vocation noble ; travailler pour l’intérêt supérieur des enfants, les placer dans des foyers d’accueil pour parfaire leur éducation, les accompagner à se réaliser dans la vie. Elle n’intervient que lorsque le parent s’avère défaillant, et dans une certaine mesure, est en proie à tout autre obstacle pouvant compromettre l’éducation de l’enfant. Malheureusement, derrière cette noble et exaltante mission, se cache « un réseau de pédo criminalité. Le système est le suivant ; chaque parent qui s ’ est vu retirer ses enfants, se retrouve rejeté par la société, car ayant désormais une étiquette de mère violente et maltraitante. Ils entrent comme ça dans sa famille pour s ’ emparer de ses enfants », confie en ces termes une source qui a requis l’anonymat. Cependant, d’aucuns pourraient s’interroger sur les critères de dénonciation et de localisation de ces nombreuses mères victimes, quand on sait que la vie occidentale est à la fois austère et très hermétique.
Il n’est en effet pas évident de rentrer dans l’intimité d’une famille sans y avoir été convié. Mais notre source dévoile ici les mécanismes de signalement mis sur pied par cette mafia d’un autre genre : « L’Aide Sociale à l’Enfance dispose de complices à pratiquement tous les niveaux ; il s ’ agit des écoles à travers les enseignants et les dirigeants, les médecins, notamment les gynécologues, les pédiatres et psychanalystes. Lorsque les enfants sont retirés, on va faire comprendre au parent qu’on le fait pour parfaire son éducation. Or, cela est totalement faux. La vérité est que du moment où l’enfant est retiré, l’Aide Sociale à l’Enfance commence son parcours criminel. L’enfant se retrouve premièrement placé dans des structures douteuses ; soit on l’envoie dans un foyer où il trouvera des gens qui vont l’entrainer dans le banditisme, le vol, l’alcool et bien d’autres maux. La conséquence directe est que l’enfant sera déscolarisé. Soit aussi qu’on l’oriente dans des familles d’accueil qui généralement ne disposent pas d’agrément du gouvernement, ou alors dans une association fictive qui va blanchir la cause de l’enfant. C’est-à-dire qu’on prend l’enfant, on le traine d’associations en associations, à tel point que le parent ne sait même plus où se trouve son enfant », révèle une nouvelle fois notre source.
Une association
À cet effet, on peut évoquer le cas d’une fillette de 10 ans qui a fait l’objet d’une attention particulière. La pauvre a été placée dans une association, qui à son tour est allée la confier à un homme vivant seul. Ce dernier n’ayant pas la même nationalité et les mêmes valeurs que la fillette, peut se retrouver du jour au lendemain en train de la violer. Notre source nous apprend justement que : « Ces structures-là fournissent des enfants aux hommes seuls afin qu’ils puissent les violer. Il a été démontré que la majeure partie des enfants que ces associations prennent, finissent violés ».
Il serait de bon ton de se demander dans quel but ces associations et autres structures se comportent-elles de la sorte, car il apparait incompréhensible que l’enfant, qui incarne tout ce qu’il y ’a de plus innocent en soit aujourd’hui réduit à un simple objet visant à assouvir les appétits sexuels de tristes pervers. Une fois encore, notre source nous dévoile la face cachée de ce système mafieux : « Sachez qu’il y a un grand intérêt financier derrière. Pour chaque enfant arraché à sa mère, l’Aide Sociale à l’Enfance gagne entre 3 000 et 7 000 euros le mois. En d’autres termes, au nom de votre enfant, ils décaissent dans les caisses de l’État français, ces sommes qui, prétendent-ils, correspondent aux besoins de votre enfant au sein de la structure dans laquelle il se trouve. Or, lorsque c ’ est le parent lui-même qui va demander de l’aide à l’État français pour ses enfants, il ne recevra pas plus de 100 euros par enfant », nous apprend-elle. Plus loin, elle ira même jusqu’à nos révéler que : « Dans le but d’accroitre les gains, cette structure va tout faire pour transformer chaque enfant arraché en handicapé.
Pour cela, ils vont lui ouvrir un dossier, et l’envoyer en psychiatrie. Là-bas, ils vont lui donner des médicaments qui vont le rendre handicapé. Ayant désormais obtenu le statut de malade mental pour l’enfant, cette structure va toucher jusqu’à 21 000 euros le mois. C’est dans le même sillage que l’enfant d’une ressortissante camerounaise répondant au prénom de Chantal, est décédé des suites d’overdose. On donnait à cet enfant des médicaments réservés aux épileptiques. À ce jour, il n ’ y a jamais eu d’autopsie, ni d’enquête, parce que ces gens sont protégés. Sachez que c’est un réseau pédo criminel qui est mis en place. Lorsque les parents commencent à demander des nouvelles de leurs enfants, ces gens prennent des mesures draconiennes. Ils vont même jusqu’à suspendre les visites sur les enfants, et parviennent même à retourner ces derniers contre leurs propres parents.
À partir des médicaments qu’on leur donne, l’enfant va perdre les pédales. Il va même aller jusqu’à dire qu’il a souvent été victime de viols de la part de sa mère, et débiter des choses qui n ’ existent pas. Pour parfaire le tout, ces gens-là travaillent avec la police. Ainsi, toutes les mamans qui veulent des nouvelles de leur enfant, feront face aux forces de l’ordre. C’est ce qui explique l’arrestation de Mme Michèle Ndo devant l’ambassade du Cameroun en France », fait-elle savoir.
En effet, le 26 Novembre 2024, l’arrestation de cette dame avait défrayé la chronique. Elle avait été appréhendée parce que l’Aide Sociale à l’Enfance lui ayant pris sa fille dans les conditions citées supra, elle a entrepris par la suite d’avoir de ses nouvelles, malheureusement elle a été stoppée net par la police, qui n’a pas tardé à se saisir d’elle. Cette arrestation lui a valu de longues procédures au pénal notamment, ceci pour qu’elle n’essaye plus de recommencer. Pourtant, il existe bel et bien des juges pour enfants en France. Ceux-ci siègent pour l’intérêt supérieur de l’enfant. En hexagone, la loi prévoit qu’avant de soustraire un enfant de sa famille, il faut au préalable vérifier si dans son entourage direct il n’a pas un oncle, une tante, un cousin, bref un membre de la famille qui pourrait s’occuper de lui. Mais l’aide Sociale à l’Enfance écarte toutes ces possibilités, car les juges pour enfants sont de mèche avec cette structure. C’est malheureusement ce qui s’est passé sur le cas de Michèle Ndo. Cette dernière a de la famille en France, notamment des sœurs et des cousines qui de par leurs situations stables, ont demandé à récupérer son fils Ritchie, ainsi que sa sœur. La juge n’a jamais donné de suite à ces requêtes. D’aucuns diront que la France est un pays où les droits sont respectés, et notamment ceux des enfants.
Et pourtant, il existe toujours des abus tel que nous le révèle encore une fois notre source : « Ne vous leurrez pas ! C’est un vrai trafic d’êtres humains qui se déroule ici en France. Il y ’ a des enfants camerounais qui sont décédés, et c ’ est toujours la même chose. Soit on vous simule une noyade, soit c ’ un étouffement, alors qu’à la vérité, ils ont abusé sexuellement de votre enfant avant de le tuer. L’Aide Sociale à l’Enfance ne fait jamais face à la justice. Leur problème c ’ est de rédiger de longs rapports qui permettront un prolongement du placement de l’enfant. Or, la loi en France prévoit une durée bien déterminée pour cela », proteste-t-elle. En fin de compte, l’Europe n’est vraiment pas le paradis. Qu’on se rappelle de l’affaire de l’Arche de Noé, ou de ces enfants violentés auxquels on extrait du sang pour livrer aux personnalités. Les intérêts mafieux priment.