Double Sim : dévoilement des autorités avec lesquelles couche Bruno Bidjang

Bruno Bidjang se fait moquer sur les réseaux sociaux par un clan qui demande le départ du pouvoir de Paul Biya. Selon cette partie de Camerounais qui veulent une alternance à la tête du pays, l'homme de média est devenu un obstacle à franchir. Bruno Bidjang est en effet connu pour ses accointances avec la famille présidentielle et tout ce qui va avec. Sa fidélité au milliardaire Jean-Pierre Amougou Belinga, lui-même proche de la grande maison d'Etoudi, est même une preuve. Le dernier à avoir allumé Bruno Bidjang, c'est l'activiste Jorel Jacques Zang qui le qualifie de copine des ministres et de plusieurs autorités du pays.

Bruno Bidjang alias miss criquet et Lady Apikoro. La Marilyn Monroé des bureaux ministériels de Yaoundé. Voici un bas fond des sous-quartiers des bidonvilles à proximité de Yaoundé qui ne doit sa survie qu'à la magnanimité de Belinga qui a fini de bien repasser ses émincées de lasses comme le cure dent avant de lui donner un peu à manger avec un poste où l'argent le surprend.

Une brindille des milieux difficiles du Cameroun qui s'est retrouvé tel "un Indien dans la ville" dans la civilisation de Yaoundé à faire le gueux pour se convaincre d'être une valeur ajoutée dans la civilisation humaine juste parce qu'on froissait son pare choc anal. Un journaleux des cavernes qui pense que porter les chiffons de 3 vestes à 1000 francs de Mokolo font de lui une personne intéressante à écouter.

Voilà donc qui est nommément cité dans tout ce qui est mœurs douteux au Cameroun au point d'avoir été en prison pour une affaire de complicité de meurtre sur un talentueux journaliste au Cameroun et qui se croit suffisamment digne de parler en société pour prétendre faire des leçons de morale aux Camerounais pro-changement. Un homme au casier judiciaire aussi lourd que du béton qui croit avoir le droit d'expression dans la société parce que se sentant protégé par certains de ses amants en fonction en échange de ses prestations intimes et nocturnes loin des regards indiscrets sur leurs canapés de bureaux.

Un Shakiro (homosexuel camerounais actuellement en Europe, NDLR) dont la boite de derrière a déjà tellement été fracassée de toutes les formes de bâton qu'il a fallu qu'il épouse "sa coépouse" (Ivana Bidjang qu'on soupçonne de toujours avoir des rapports avec Amougou Belinga, NDLR) pour se donner un semblant de respectabilité en société.

La même coépouse qui elle-même s'est retrouvée toute aussi inquiétée judiciairement dans l'affaire Bryan Fombor. Comme quoi les mouches n'aiment que fonctionner ensemble. Si le Cameroun était un pays sérieux avec des juridictions sérieuses, des personnes pareilles seraient derrière les barreaux en lieu et place de toutes les innocentes personnes qui s'y trouvent juste parce qu'elles n'ont pas le bras long ou les moyens de se défendre.

Ce n'est qu'au Cameroun de l'anormalité et des contre valeurs que des gens pareils peuvent prétendre avoir une vie, car dans les véritables pays où la méritocratie et la compétence sont de mise, même être agents d'entretien ou éboueurs quelque part serait un luxe pour des personnes pareilles. Aujourd'hui notre Marilyn Monroe qui se dit journaliste (dans sa tête) est réduite à faire des fake en voulant faire passer les militants du général de Guinée pour des militants du MRC au Cameroun avec leur sardine périmée, une tentative maladroite de vouloir diaboliser l'opposition pour plaire davantage à ses macs.