Woubi : les aventures de Cysoul dans des bureaux ministériels de Yaoundé

« C'est quand le fou n'est pas de ta famille que sa danse te faire rire ». L'artiste de musique Cysoul a posté cette phrase lourde de sens sur les réseaux sociaux, l'accompagnant par une photo de Lydol et de lui-même. Une sorte de soutien à la slameuse qui traverse une période difficile en ce moment à cause du meurtre commis par son père.

Zang, activiste très remonté depuis le début de l'affaire, a réagi à la sortie de Cysoul. Ce dernier avait pourtant décidé de supprimer ensuite la phrase susmentionnée, mais Zang l'a capturée avant.

Cysoul, c'est à toi que ce post s'adresse. Tu as supprimé ta publication, mais hélas pour toi, on avait déjà fait un screenshot. Tu as supprimé encore pourquoi ? Ne fait pas qu'on sorte ton dossier de 'woubi' dans les bureaux ministériels et autres.

Il ne faut même pas m'énerver. Là où tu es, ta part de dossier est très lourd et surtout ça sent très mauvais. Comme dans les obédiences lugubres auxquelles ta "sœur" Lydol et toi et bien d'autres appartenez, on vous impose de faire publiquement les mêmes signes ésotériques, jamais que les gens avisés vous regardent de loin.

Ce n'est pas parce qu'on vous regarde sans rien dire qu'on est aveugle. Et quand vous faites vos choses, que ça ne reste qu'entre vous. Lais dès le moment où les conséquences touchent des innocents, on va toujours vous faire ça propre.

Tu as été très intelligent de supprimer ton post, mais il faut encore te perdre même en toussant seulement et je vais atterrir sur toi comme le grumier. Je te guette, car toi-même, tu ne vas pas comprendre ce qui t'arrive en ce moment. Vous aimez tester notre patience.