'Ma copine mène une vie de débauche'

Fille Vie De Debauche Vie de débauche (photo d’illustration)

Fri, 18 Jul 2025 Source: www.camerounweb.com

La narratrice a besoin de vos conseils concernant la situation plus que compliquée avec sa femme. Il s’agit d’un jeune Camerounais qui vit à Douala.

J'ai rencontré une fille par erreur, en me trompant de numéro. On a commencé à discuter et puis l'amour s'en est mêlé. On ne vivait pas dans la même ville au début, mais plus le temps passait, plus nos sentiments devenaient forts. Elle a fini par s'installer chez sa tante à Douala. Tout allait bien jusqu'au jour où, en appel vidéo à 6h du matin, elle décroche... dans une chambre d'hôtel. Elle a d'abord nié, puis a fini par avouer : elle était rentrée tard et le fils de sa tante a refusé de lui ouvrir. J'ai fait une scène, puis j'ai fini par accepter ses excuses.

Quelques temps après, je découvre qu'elle me trompe avec un militaire : photos et vidéos compromettantes à l'appui. Elle a juré que c'était juste parce qu'on était en froid et que son amour pour moi était sincère. J'ai encore pardonné. Ça fait 4 ans qu'on était ensemble, après tout. Autre détail : elle m'a refilé des infections à deux reprises en moins de quatre mois. Rebelote, je la bloque. Elle va pleurer devant mes parents et mes amis, et je finis par céder, encore une fois.

Et c'est là que ça dégénère. Depuis un mois, elle a changé : elle prend du poids, porte des chaînes de cheville, et veut devenir influenceuse. Je ris d'abord, puis je lui demande : "Influencer qui ? Et avec quoi ?". Elle me répond qu'elle rencontre plein de "gars" qui lui disent que c'est un signe, qu'elle pourrait percer. Je refuse catégoriquement et la préviens : si elle se lance là-dedans, c'est fini entre nous.

Elle fait mine de comprendre, mais la voilà qui tourne une vidéo avec Nell Cruz (un influenceur local). Pour info, elle vend au marché central, et moi, après mes études à l'ESSEC de Douala, j'ai monté mon pressing. On se débrouille chacun, quoi. Furieux, je lui fais une scène. Ni une, ni deux, elle avale de l'eau de javel. Nouvelle crise, famille, amis... Je cède encore.

Samedi dernier, elle vient me voir au pressing. Tout se passe bien, on décide de dormir sur place. Sauf que, une fois endormie, mon instinct me pousse à fouiller son téléphone. Son mot de passe ? Son code Momo ! J'accède à son WhatsApp et là, c'est le pompon. Elle est inscrite dans un groupe de bisexueIs.

Elle y a posté : "Qui est chaud pour une partie à 3 aujourd'hui ?". Je découvre des vidéos d'elle avec d'autres mecs. Je copie les vidéos et clone son WhatsApp sur mon téléphone. J'ai passé la nuit blanche. Le lendemain, elle repart et je commence à recevoir ses messages. Elle organise des partouzes avec ses copines.

Elle demande de l'argent à un mec pour se faire avorter (elle utilise un terme cru). Elle demande du char... à une amie. Des mecs lui proposent : "5 000 pour un coup", "3 000 pour un coup", etc. J’ai expliqué à la famille de la fille, chose que la fille ne voulait pas, honnêtement c’est une bonne fille dans le fond je ne sais pas si c’est la mauvaise compagnie. Actuellement la famille de la fille veut arranger les choses avec moi, la mienne ne connaît encore rien de cette histoire, juste quelques amis. Que dois-je faire ?

Source: www.camerounweb.com