Sextapes aux postes de Police: les cameras ont parlé, ambiance glaciale au DGSN

Coup de tonnerre sous les képis ! La police camerounaise traverse un véritable tremblement de rein disciplinaire. Et tout part d’un lieu désormais tristement bien nommé : l’« hôtel de police » — baptême prophétique, vu ce qu’on y tournait récemment.

Le commissaire divisionnaire Ossomo Josué, ex-délégué régional par intérim de la sûreté nationale du Centre, vient de prendre la porte après la fuite de vidéos torrides le montrant en plein casting horizontal... dans son propre bureau ! Oui, monsieur le commissaire avait semble-t-il transformé son espace de travail en plateau X, version uniforme et insignes.

Au menu de ces séquences virales (et viriles): plusieurs partenaires, toutes estampillées police nationale. Parmi les figurantes identifiées : Christelle Eboa, officier de 2e grade, une commissaire de police, et quelques autres collègues dont l’identité reste encore floutée par l’enquête.

Devant le tollé, les autorités n’ont pas traîné. Suspension immédiate de l’acteur principal, remplacement au pied levé par le commissaire divisionnaire Abena Armand, et ouverture d’une enquête disciplinaire et judiciaire. L’ambiance, autrefois très collaborative dans certains bureaux, est désormais glaciale.

L’affaire fait désordre. Non seulement elle met à nu (littéralement) des dérives éthiques au sein de la police, mais elle soulève aussi une exigence de transparence. La hiérarchie n’a pas encore sorti de communiqué officiel, mais une chose est sûre : la caméra ne ment jamais, et cette fois, elle risque bien de coûter plus que des points sur le permis moral.

Avec Le Popoli