Les populations dénoncent au MINAT les agissements de Mijane Ndame épouse Ngoulou, qu'elles accusent d'avoir outrepassé ses prérogatives lors du règlement d'un conflit de terrain. Vidéos à l'appui, elles réclament des sanctions.
Un mouvement d'humeur secoue l'arrondissement d'Endom où les populations accusent l'adjointe au sous-préfet, dame Mijane Ndame épouse Ngoulou, d'avoir violé les procédures légales lors du règlement d'un litige foncier. Dans une lettre adressée au ministre de l'Administration territoriale Paul Atanga Nji, les habitants dénoncent des pratiques qu'ils qualifient d'"irrégulières" et d'"illégales", preuves vidéo à l'appui. L'affaire concerne un conflit de terrain opposant dame Péré Janine née Mekui Jeanne Françoise au sieur Mvodo Essong Michel, que l'administratrice aurait tranché en s'arrogeant des compétences qui ne sont pas les siennes.
MIJANE NDAME, Adjointe AU SOUS-PRÉFET D'ENDOM PAR AKONOLINGA PROVOQUE UN MOUVEMENT D'HUMEUR À ENDOM. LES POPULATIONS ADRESSENT UNE LETTRE AU Ministère de l'Administration Territoriale du Cameroun
《Mr le MINAT, VOICI LES AGISSEMENTS DE DAME MIJANE NDAME épouse NGOULOU, ADJOINT AU SOUS-PRÉFET DE L'ARRONDISSEMENT D'ENDOM PAR AKONOLINGA...
Nous venons à la face du monde décrier l’irrégularité, l'illégalité et les contre-vérités du 1 er adjoint au sous-préfet de l'arrondissement d'Endom par rapport au règlement du litige foncier qui oppose Dame Péré Janine née Mekui jeanne Françoise au Sieur Mvodo Essong Michel...
En violation flagrante des dispositions de l’ordonnance de 74 fixant le régime foncier et du décret de 76 portant modalités de gestion du domaine national,
dame MIJANE NDAME s'est improvisée toute seule en une commission consultative, prérogative exclusivement réservée au préfet par arrêté préfectoral dans l'arrondissement ou le district.
Pire encore, à partir de la rue sans expertise des agents des eaux et forêts ou du cadastre, elle a procédée à une délimitation verbale imaginaire et orientée comme vous le voyez dans les vidéogrammes en l'absence des mis en cause, indisponibles du fait de leurs activités professionnelles hors du territoire camerounais où elle reconnaît avoir reçue une correspondance de l'intéressée transmise à elle par le sous-préfet sortant qui faisait sa passation de service mercredi 13 Août 2025 , et la 1 ère adjointe faisait sa simulacre de descente la veille, c'est à dire le 12 Août 2025.
Y avait-il urgence ?
Elle prétend que la date proposée par la mise en cause est longue...
Sachant qu'elle n'est pas juge et prétextant sur l'urgence, quid des procédures pendantes dans des juridictions pendant plusieurs années..?
Le crime n'est jamais parfait et les vidéos l'illustrent si bien.
-Que cette dame en vienne à contredire ces faits constants à son encontre si elle en a la possibilité.
-Nous nous réservons le droit après cette mise à nue des pratiques malsaines et insanes de cette dame, des poursuites sur le plan administratif et pénal, les vidéogrammes faisant foi.
S'est-elle substituée en juge de siège pour rendre une décision verbale orientée ?
À t'elle cette qualité ?
Et le tout sur la route sans rentrer sur le site pour voir et contradictoirement à la question d'un membre de la famille mise en cause, pour connaître la légitimité et légalité d'une telle décision en l'absence de la partie convoquée.
Pourquoi convoquer si on peut décider en l'absence des mis en cause. ?
, Quid des cultures de rentes ou vivrières, expertise dévolue aux agents des eaux et forets..?
En venant pour la descente, le préfet habileté à mettre en place une commission consultative était-il informé ?
Tout ceci à la veille de la passation de service du sous-préfet sortant dont elle reconnaît la transmission de la correspondance d'indisponibilité...voir et écouter les vidéogrammes.
NB: " Le sous-préfet ou l'un de ses adjoints n'ont pas compétences pour statuer sur le fond d'un litige coutumier, il peut intervenir si la décision du tribunal coutumier est susceptible de troubler l'ordre public ou si elle est manifestement contraire à la loi."
Dans ce cas, il peut saisir les autorités compétentes (par exemple, le préfet ou le tribunal de première instance) ou prendre des mesures pour faire cesser les troubles.
Pour le reste, c'est une perte temps, d'énergies et d'argents distribués pour rien mes chers oncles et frères.
-Quand bien-même, le sous-préfet met cette commission consultative en place, c'est par message porté. Rien de tout cela.
In fine, celle sensée être le dépositaire de l'autorité de l'État dans l'arrondissement et garant de la loi, vient plutôt ranimer l'effusion volcanique pour accélérer les troubles à l'ordre public.
Ces agissements vaudevillesques connues et posés précipitamment sans respect des règles et lois en vigueur prouvent à suffisance toutes les compromissions arrangées autour de cette affaire.
Pour preuves, visionnez et écoutez attentivement ces vidéos.
Mr le ministre Paul Atanga Ndji, Gouverneurs, préfets, sous-préfets, voici les agissements de vos collaborateurs.
Et pourtant, elle délimite verbalement sans croquis, sans preuves tangibles, sans documents afférents au mépris du jugement du chef de groupement... comme une décision de justice et au mieux une décision du ministre des domaines et cadastres.
Voici la génération des néo-administrateurs formés à l'ENAM.
Tout les administrateurs civils du commandement territorial peuvent apporter leurs contradictions si les dénonciations appuyées par les vidéos n'illustrent pas la méconnaissance déconcertante des lois et règlements en la matière.
C'est pire que la honte. Le préfet du Nyong & Mfoumou et le Minatd doivent se saisir de ce dossier et sanctionner ces indélicatesses du sous-préfet sortant et son adjointe administrative hors-la-loi.》