L’histoire est publiée de façon anonyme. Par celui qui se fait appeler Jean Baptiste, 36 ans, marié et père de trois enfants. C’est un électricien.
La vie ici n’est pas facile, mais on fait avec. Après le dernier accouchement de ma femme, tout est devenu plus compliqué. Elle était épuisée et je me retrouvais à courir partout pour ramener de l’argent. Comme la mère de mon épouse était malade, elle a envoyé sa petite sœur, Eugénie, du village.
Elle avait à peine 19 ans et franchement je la voyais comme une gamine jusqu’au jour où je ne l’ai plus vue de cette manière. Quand elle est arrivée avec ses habits simples et ses manières réservées, je me suis dit qu’elle allait juste passer inaperçue, aider sa grande sœur et repartir au village.
Mais très vite, je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer son corps, ses mouvements, ses hanches et ses fesses bien pleines. Elle avait beau être timide, quelque chose en elle m’attirait. Je rentrais du travail et rien que la voir me faisait bouillir. Je savais que c’était mal, mais plus j’essayais de m’en éloigner, plus j’étais attiré par elle. C’était devenu une obsession.
Le premier soir où j’ai tenté quelque chose, elle faisait la vaisselle, concentrée. Je suis venu derrière elle, doucement, et j’ai murmuré : Eugénie, tu sais que tu es belle, non ? Elle a sursauté, surprise et s’est retournée, les yeux pleins de reproches. Tonton, qu’est-ce que tu racontes ? Arrête ça. Je suis venue pour aider ma sœur, pas pour entendre ces bêtises.
Je me suis senti stupide, mais quelque chose en moi refusait d’abandonner. Elle était là, juste là et l’idée de la laisser filer sans rien tenter me rongeait. Les jours suivants, j’ai continué à la draguer. Chaque occasion que j’avais, je lui faisais des compliments, essayant de la séduire. Elle m’évitait, refusait de me regarder dans les yeux. Un soir, j’ai voulu être plus direct. Je me suis assis à côté d’elle pendant qu’elle pliait du linge.
Eugénie, écoute-moi bien, dis-je en baissant la voix. Je sais que tu n’as pas l’habitude d’entendre ce genre de choses, mais tu me rends fou. Je ne pense qu’à toi. Elle a secoué la tête, clairement mal à l’aise.
Je ne suis pas comme ces filles-là, tonton. En plus, tu es le mari de ma sœur. Respecte-moi, s’il te plaît.
Mais moi, j’étais déjà trop loin. J’ai insisté. Jour après jour, je revenais à la charge, toujours plus insistant. Je savais que j’avais dépassé les limites, mais elle n’avait toujours rien dit à ma femme par rapport à mon comportement. Cela m’encourageait et je ne pouvais plus m’arrêter. Un soir, j’ai franchi une nouvelle étape. Je suis rentré avec une enveloppe bien remplie : 100 000 francs.
Eugénie, j’ai quelque chose pour toi, lui dis-je en lui tendant l’enveloppe. Prends ça, c’est pour toi. Fais ce que tu veux avec.
Elle m’a regardé, choquée. Tonton, tu es sérieux là ? C’est quoi ça ? Tu veux acheter mon corps ? Non, je ne peux pas accepter.
Mais quelque chose dans son regard avait changé. Peut-être qu’elle avait vu que j’étais sérieux. Peut-être que l’argent parlait plus fort que ses principes. Elle a hésité, puis a pris l’enveloppe d’une main tremblante.
Okay, mais personne ne doit jamais savoir, a-t-elle murmuré, les yeux baissés. Ce soir-là, tout a changé. Une fois qu’elle a accepté, c’était comme si elle s’était transformée. Elle est passée de la fille réservée et effrayée à une maîtresse pleine d’assurance.
Eugénie n’était plus la petite sœur timide de ma femme. Elle est devenue une femme, une experte même, dans l’art de faire l’amour. Ce qu’elle m’a fait, je n’aurais jamais imaginé qu’une fille du village puisse connaître de telles techniques. Elle utilisait ses mains avec une précision que je n’avais jamais connue. Chaque caresse, chaque mouvement de ses doigts était calculé, comme si elle savait exactement où appuyer pour m’emmener au bord du gouffre. Et quand elle utilisait sa langue, c’était une autre histoire. Elle savait manipuler mon membre, me contrôler, comme un marionnettiste avec ses fils.
Ses gestes étaient fluides, maîtrisés, et moi, j’étais sous son emprise. Ce qui devait être une simple aventure est devenu une addiction. Je ne pouvais plus me passer d’elle. Je la comblais de cadeaux. Chaque jour, je trouvais une excuse pour l’approcher, pour sentir de nouveau cette chaleur, pour me perdre dans cette passion interdite. À chaque petite occasion, sa main caressait mon membre : à la cuisine, dans les couloirs de notre modeste maison.
Je lui ai demandé de ne plus porter de sous-vêtements en dessous de ses robes quand elle était à la maison. À la moindre occasion, j’étais entre ses cuisses. Ma femme pouvait être au salon en train de s’occuper de l’enfant, et moi, à la cuisine, j’avais ma main entre les cuisses de sa sœur, pendant que les mains d’Eugénie faisaient des va-et-vient sur mon membre, jusqu’à ce que j’explose.
Ma belle-sœur ne laissait jamais passer une occasion de me rendre plus accro. Ma femme, elle, ne voyait rien. Elle continuait sa vie de mère fatiguée, pendant que moi, je sombrais de plus en plus dans mon obsession pour Eugénie. Je me suis retrouvé à penser à tout quitter. Ma femme, mes enfants. J’ai même proposé à Eugénie de partir avec moi.
On pourrait aller au Togo ou en Côte d’Ivoire, recommencer à zéro, lui ai-je dit un soir. Mais elle hésitait encore, peut-être par peur de sa mère au village, ou peut-être parce qu’elle savait que c’était trop dangereux. Selon elle, on pouvait continuer à vivre notre amour ici, sans avoir besoin de fuir. Maintenant, je suis dans un dilemme. Je suis tombé amoureux d’elle, de cette passion qu’elle m’a fait découvrir. Je ne sais plus quoi faire.