Indécence : les nouvelles ne sont pas bonnes pour la maire Denise Fampou

La série d’incendies déclenchés sur le territoire inquiète. Les violences post-électorales engendrent des conséquences lourdes : destruction d’infrastructures, morts d’hommes que ce soit du côté des forces de l’ordre ou des manifestants, villes mortes, etc. La résidence de Denise Fampou a été incendiée. Alex Koko à Dang, fils de New-Bell, journaliste et observateur, fait tomber les masques par ses verbes.

Loin des aberrations colportées à dessein pour tromper la vigilance de la population, l’on connaît aujourd’hui les motifs de la flambée de la résidence du maire de la commune d'arrondissement de Douala 2ème, prise d’assaut le 25 octobre 2025 par des insurgés le jour de la proclamation des résultats officiels de l'élection présidentielle. Me Denise Fampou paie le prix de sa fidélité et de sa loyauté au RDPC et à son président national dont elle est un fidèle inébranlable.

Après la cabale infâme orchestrée dans les réseaux sociaux et une certaine presse dite à gage, par ses détracteurs, des individus sans foi ni loi, ceux-ci sont passés à la vitesse supérieure de l’ignominie en incendiant son domicile. La présidente de l'OFRDPC qui s'est donnée pour mission de redorer le blason de l'arrondissement de Douala 2, paie non seulement le prix de son travail acharné et de sa popularité auprès des populations qui lui ont accordé leurs suffrages en 2007, 2013 et puis en 2020, mais aussi de sa fidélité à son patron politique, Son Excellence Paul Biya, président réélu du Cameroun.

Déterminés à l'éjecter absolument de son fauteuil à la mairie, ses détracteurs incapables de la battre aux élections ont choisi d'en découdre définitivement avec elle. Depuis son avènement en 2007, à la tête de la commune d'arrondissement de Douala 2, Fampou s'est engagée à améliorer les conditions de vie des populations par une série de réalisations notables.

Parmi celles-ci, on note la réfection des édifices publics, le pavage des rues dans plusieurs quartiers, la construction de la maison de la jeune fille, la construction du cercle municipal, la construction de la barrière du cimetière de New-Bell, la création des espaces de détente, l'organisation chaque année de l'arbre de Noël, un événement festif pour les enfants à qui elle offre des dons, l'organisation tous les ans du tournoi de la paix pour promouvoir l'harmonie et le vivre ensemble, l'organisation du concours des quartiers propres.

Sous l'édile actuelle de Douala 2, l'arrondissement se transforme, rayonne et les résultats sont visibles dans chaque quartier. Fampou a fait du développement de Douala 2, son cheval de bataille et ça fait des jaloux. Sa volonté d'améliorer l'environnement est visible dans la peinture des façades des édifices publics, les rendant plus attrayant et accueillant.

Madame le maire de la commune d'arrondissement de Douala 2, est de loin meilleure que ses collègues des autres communes du Wouri. Cette actrice engagée pour l'entrepreneuriat féminin, est très aimée dans son arrondissement, surtout par les jeunes et les femmes dont elle est très proche. Elle a initié de nombreux projets visant à autonomiser les femmes tout en favorisant la création d'emplois.

Ancrée dans cette dynamique, Denise Fampou a aussi mis sur pied une équipe de nettoyage qui exerce fièrement ses activités dans tout l'arrondissement. Dans un contexte où l'assainissement et l'ordre sont primordiaux, le maire a mis tout son personnel dans le même panier pour lutter contre l'insalubrité et œuvrer pour un arrondissement saint propre où il fait bon vivre.

La haine n'est pas dans l'ADN de Denise Fampou, que certaines personnes tapis dans l'ombre veulent détruire au prétexte que trois mandats c'est trop. Ne fait pas trois mandats qui veut, mais qui peut.

Ce qui est certain le jugement de Dieu sera infernal pour tous ceux qui lui veulent impunément du mal. La route de Dieu est juste, rien ne se perd, rien ne crée, tout se transforme. Le karma existe. Très prochainement des révélations sur l'incendie et les commanditaires identifiés.