Élection proclamée : les dernières nouvelles de Tchiroma et sa famille sont terrifiantes

Issa Tchiroma A Perdu Coup dur

Mon, 27 Oct 2025 Source: www.camerounweb.com

C'est absolument une situation difficile pour Issa Tchiroma Bakary, l'homme devenu par la force des choses le leader de l'opposition en l'absence de Maurice Kamto dont la candidature n'a pas été validée par le Conseil constitutionnel. La même institution que nous venons de citer a livré le verdict de l'élection présidentielle et ce n'est pas en faveur de l'ancien ministre.

Bien avant la réunion de Clément Atangana et Cie pour dévoiler les chiffres officiels issus du comptage de voix, l'homme de média, Bruno Bidjang, a adressé un tir cadré en direction d'Issa Tchiroma qu'il qualifie de trouillard.

Chers jeunes, pendant qu'Issa Tchiroma vous demande de descendre dans la rue pour revendiquer sa victoire imaginaire, lui est en fuite, bien au chaud dans un pays voisin. Issa Tchiroma Bakary, président du Front pour le salut national du Cameroun (FSNC), a pris la fuite la nuit d'avant-hier après avoir appris l'arrestation simultanée de Djeukam Tchameni, Anicet Ekane et, le lendemain, du Pr Aba'a Oyono.

Selon nos sources, il aurait gagné le Nigeria accompagné de cinq de ses proches. Avant son départ, il a pris soin de faire quitter le pays à toute sa famille pour la mettre à l'abri. Mais pendant qu'il met les siens en sécurité, il demande à vous, jeunes Camerounais, de descendre dans la rue pour protester une victoire imaginaire dont il n'a jamais apporté la moindre preuve crédible. Pendant qu'il protège les siens, il vous envoie, vous les enfants des autres, défier l'autorité de l'État et provoquer l'insurrection.

Regardez tous ceux qui ont été arrêtés à Dschang, Garoua ou Douala : ils ont écopé de lourdes peines de prison ferme devant les tribunaux militaires. Et Tchiroma ne leur a jamais, au grand jamais, apporté le moindre soutien. Quel genre de leader instrumentalise les enfants d'autrui pour sa cause et disparaît lorsqu'ils sont arrêtés ? Il ose même dire à ses proches qu'il ne les a pas forcés. Est-ce sérieux ?

Le démantèlement du vaste réseau de fabrication de faux procès-verbaux en est la preuve : après la toile et les images truquées produites à l'aide de l'intelligence artificielle, voici maintenant les interpellations sur le terrain par la police et la gendarmerie camerounaise. Les responsables du FSNC, du MRC et leurs complices impliqués dans ces fabrications répondront de leurs actes.

On vous invite à descendre dans la rue pendant qu'eux se mettent à l'abri. Les « lanceurs d'alerte » qui vous incitent à la rébellion sont, eux, confortablement installés en Europe. Et lorsque vous serez confrontés à la rigueur de la loi, vous serez seuls à payer le prix. Pensez au préjudice que vous causerez à vos familles : l'État ne laissera plus le désordre s'installer. Si même ceux qui se croyaient intouchables ont été arrêtés, qu'en sera-t-il de vous ?

Pendant que le peureux se cache au Nigeria, il tente d'envoyer les enfants des autres dans la rue alors que lui est déjà à l'abri.


Cette intervention de Bruno Bidjang n'a pas été immédiatement suivie par Issa Tchiroma selon nos sources, il était plutôt concentré sur le nom qui sortira de la bouche de Clément Atangana, président du Conseil constitutionnel. Ce n'est pas le sien qui a été proclamé, mais plutôt de Paul Biya, un vrai cauchemar pour le candidat de l'opposition qui croyait dur comme fer qu'il était le gagnant après les différents comptes rendus et les procès-verbaux qu'il a en sa possession. Ajouté maintenant à cette pique de Bruno Bidjang, beaucoup de choses devraient passer par la tête de l'homme politique dont on ne connait pas encore les plans.

Source: www.camerounweb.com