‘Deux Aladji en une soirée me font 10 millions’ – Cynthia Fianga

• Elle a quitté sa formation

• Auréole Tchoumi revient sur l'affaire

• Il indique qu'il y a des milliers de Cynthia Fianga sur la toile



Christelle Atangana alias Cynthia Fianga ne tient pas dans son processus de réintégration socio professionnelle. Il a quitté sa formation qu’elle a intégrée après sa sortie de prison.

Auréole Tchoumi est revenu sur la question Cynthia Fianga au moment où les choses pullulent sur les réseaux sociaux. « Luc Perry Wandji avait dit avec fierté qu'il serait ton premier client. Avec 100 mille francs CFA, il s'apprêtait à passer la commande d'un modèle simpliste juste pour te redonner confiance. Valsero a fait une sortie intrigante et tout le monde lui a demandé de te lâcher les baskets. J'ai dit qu'il a raison », a écrit Auréole Tchoumi.

« Cynthia est le fruit d'une société virtuelle livrée à la facilité et la pornographie. Vous lui demandez de faire la couture et dans le même temps elle voit les Diana Bouli et autres filles qui n'offrent que leurs formes généreuses comme atout particulier, aller représenter le Cameroun au Qatar », déplore le cadre du RDPC.

« Elle se dit, ''si je suis là-bas, deux Aladji en une soirée me font 10 millions. Me connaissant, Si je resiste 5 jours j'ai 50 millions. Je reviens ici, je deviens une Star, je vais à Nkodengui offrir des draps, du riz, du sel à toutes les femmes avec qui j'ai vécu en harmonie », précise Auréole Tchoumi.

« Cynthia n'est plus une fille de notre temps. Elle est le prototype d'un robot formaté, placé en mode ''revenge''. C'est une perte de de temps que de vouloir la contraindre à quitter son monde féérique où un ''léger'' coûte 25000 frs pour celui des tissus où le client n'est jamais satisfait de la qualité de la couture. Quand nous serons aux affaires, nous fermerons pour 2 ou 3 ans les réseaux sociaux, le temps de socialiser notre jeunesse et repartir de zéro », a indiqué Auréole.

Pour finir, il indique qu’il y a des milliers de Cynthia Fianga sur la toile. Même dans nos universités, les filles marchent déjà nues. Le vigile chasse, la mère vient le brutaliser.