Le débat concernant la présidence de la Fédération Camerounaise de Football (Fecafoot) se poursuit alors que le Dr Chuo Walters soulève des préoccupations sérieuses quant à la légalité de la présidence actuelle, se basant sur les récentes décisions du Tribunal arbitral du sport (TAS).
Le Dr Chuo Walters a exprimé son point de vue concernant la légitimité de la présidence de la Fecafoot, mettant en lumière les verdicts rendus par le Tribunal arbitral du sport (TAS). Contrairement à une approche diplomatique, il a directement remis en question la validité de la présidence sous Samuel Eto’o.
Le Dr Chuo Walters a cité plusieurs éléments qui, selon lui, étayent ses affirmations. Il a souligné le point 126, la résolution 15 datée du 27 août 2022, l'article 35 ainsi que la convocation de l'Assemblée générale. Selon ses dires, l'Assemblée générale du 27 août 2022 ne détenait pas la légitimité requise pour prendre des décisions d'une telle importance.
Durant l'émission "Canal Presse" diffusée sur Canal 2 International, le Dr Chuo Walters a expliqué son point de vue en détail. Il a affirmé que la présidence actuelle de la Fecafoot est entachée d'illégalité. Il a mis en avant l'absence de légitimité du processus et a remis en question la validité de Samuel Eto'o en tant que président.
Le Dr Chuo Walters a également lié ses arguments à la condamnation de Samuel Eto'o Fils en Espagne. Cette situation juridique complexe semble ajouter une couche de complexité aux questions entourant la présidence de la Fecafoot.
La contestation de la légalité de la présidence de la Fecafoot par le Dr Chuo Walters soulève des questions cruciales concernant le processus par lequel la présidence actuelle a été établie. Les références précises aux articles et résolutions, ainsi que la mention de l'affaire juridique impliquant Samuel Eto'o Fils, apportent de la profondeur aux préoccupations émises. Alors que le débat continue de faire rage, il est essentiel de surveiller les développements futurs et les réponses des parties concernées.