Les vérités de Lady Ponce sur les femmes
Dans une tribune publiée sur les réseaux sociaux, l’artiste camerounaise Lady Ponce met en garde ses abonnés contre la méchanceté gratuite des femmes sur les réseaux sociaux.
Si vous voulez connaître la vraie méchanceté ,vous n'avez pas à trop parcourir les pages gossips.
Penchez vous , plutôt sur les sentiments que nourrissent les femmes envers les autres femmes et leurs commentaires cruels.
Oui vous frissonnerez d'horreur, devant tant d'hypocrisie, de jalousie, de méchanceté gratuite et de bassesses.
La méchanceté des femmes envers leurs semblables,les autres femmes est pire que la mort.
Et avec cela comment pouvons nous avancer?
La femme pense que en rabaissant l'autre ,elle s'élève ou encore se donne de la valeur. Laisse moi rire!
Non ,quand tu rabaisses une autre femme ,tu te rabaisses toi même et tu élèves plutôt celle que tu crois rabaisser.
Se confier à une autre femme de nos jours, est un risque énorme ,c'est comme prendre ta propre vie et mettre au carrefour du monde entier.
Non seulement en le faisant, tu deviens prisonnière parce qu'au moindre incident ou en cas de petits conflits toute ta vie est versée sur les réseaux sociaux .Et très souvent avec des contre-vérités et des inventions mensongères pour nourrir les charognards qui n'ont pas d'autres vies que de se nourrir des cadavres présumés ou avérés que les autres auraient dans leurs placards.
Comme s'ils n'en ont point.Si on pouvait fouiller la vie de tous ou enlever les toits des maisons qui cachent beaucoup de choses.....Ou encore entrer dans les inbox en ligne,que trouverions nous? Mon Dieu ! Mais des pêcheurs jugent d'autres pêcheurs.
Les plus diaboliques et méchants êtres sur les réseaux sociaux sont toutefois les femmes toujours entrain de rabaisser leurs semblables toujours entrain de s'insulter, surtout en dessous de la ceinture. Des propos vils.
Alors vous qui me lisez , chères femmes, sachez que si vous voulez être élevées ,nous devons nous respectez et nous élever entre nous.
Arrêtons la sorcellerie, car elle nous ralentit, elle ne nous honore pas.
