"La lutte pour la libération du Cameroun est abandonnée au président élu Maurice Kamto" - Sébastien Ebala

L’activiste Sébastien Ebala trouve que la jeunesse et même les Organisations non gouvernementales de défense des droits de l’homme au Cameroun ne participent pas à la lutte pour la libération du pays.

Pour l’activiste Sébastien Ebala, il n’y a que Maurice Kamto le président du Mouvement pour la renaissance du Cameroun (MRC) qui lutte véritablement pour la libération du pays. Les Organisations non gouvernementales (ONG) qui disent défendre les droits de l’homme au Cameroun de son point de vue, sont corrompues.

«La lutte pour la libération du Cameroun est abandonnée au président élu Maurice Kamto qui est le seul opposant crédible dans notre pays. Regarde même les ONGS qui disent défendre les droits de l’homme au Cameroun. Toutes sont compromises à cause des actes de corruption dans lesquels ils sont impliqués. Certains comme le Redhac qui a fait de cette histoire son fonds de commerce absolu personne n’est prête à assumer ses responsabilités où alors se battre dans le but de sauver le bateau Cameroun qui est déjà complètement abîmé par une clique de vampires qui n’ont que pour mode de fonctionnement la méchanceté, la torture physique sur les humains que nous sommes le tribalisme comme fond de compétition pour manipuler les âmes inconscientes laisser prospère la médiocrité, le banditisme intellectuels de certains petits diplômes de notre cher et beau pays le Cameroun. Voilà pourquoi lorsque tu es incorruptible, on te présente comme un danger pour la République où alors on te diabolise d’être Bamileke ou Anglophone. A défaut d’être corrompu, on t’envoie en prison après la prison, cest ta mort qui est programmée à longueur de journée dans certaines officines», a écrit Sébastien Ebala.

L’activiste Ebala affirme que la jeunesse camerounaise aussi est inconsciente. Elle ne participe pas au combat. Cependant, il reconnaît qu’il y a des jeunes qui se battent pour le changement. Il les recommande de fédérer leurs efforts avec Maurice Kamto.