Le journaliste Hugo BOSSOKEN a analysé les contre-performances des équipes nationales de football et a remarqué un changement de discours chez les supporters du président de la Fecafoot après les éliminations récentes. Il critique le fait que ces supporters aient négligé certains paramètres, comme la dimension spirituelle et la méthodologie, après la victoire du 11 décembre 2021. Le journaliste souligne également que le président de la Fecafoot a des limites, en particulier en ce qui concerne la sélection des joueurs. Il considère cependant que l'échec peut être un moment d'apprentissage.
L'homme de média l'a relayé sur son compte Facebook après la dernière élimination des lionceaux. Lisons ensemble
Depuis la pluie des échecs de nos sélections nationales, je constate qu'il y a un changement de discours des gens qui prétendent aimer le président de la Fecafoot.
C'est ce discours qu'on devait servir au peuple après la victoire du 11 décembre 2021.
Après la révolution du 11 décembre, ils ont dit avec beaucoup d'arrogance que sous Eto'o, le Cameroun va tout casser en Afrique.
Ils ont négligé la dimension spirituelle et autres paramètres liés à la méthodologie, et l'aspect technique.
Depuis quelques mois, ils réalisent notre président n'est pas le faiseur de miracle . Il est également un humain avec ses forces et bien sur ses limites.
L'une de ses limites c'est son incapacité de faire des bons castings.
En tout cas l'échec est un moment d'apprentissage.