Ce n’est pas la grande sérénité au sein de certains clubs comme Unisport, Stade Renard et Dragon
La relégation en Elite Two est une véritable hantise pour certains clubs de l’élite. Une situation déjà officielle pour Yaoundé II FC que ne voudrait aucunement vivre Unisport du Haut Nkam, Stade Renard de Melong et Dragon de Yaoundé.
Sauf qu’avant d’amorcer les trois dernières journées du championnat, ces clubs qui ne sont toujours pas à l’abri de la relégation avec le même nombre de points (38), vivent quelques remous. Au cours des cinq derniers matchs, Unisport n’a glané que quatre points sur les quinze en jeu.
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Soit une victoire, un nul et trois défaites. Sous la menace de la Colombe du Dja-et-Lobo à deux points, le « Flambeau de l’Ouest » est orphelin de son entraîneur adjoint depuis la 29e journée. Théophile Fonkou n’a plus été aperçu sur le banc de touche après un incident d’aprèsmatch avec un supporter à la suite de la défaite face à Bamboutos (0-1).
Aucune communication officielle émanant de l’administration du club n’a été rendue publique sur ce cas. Du côté de Melong, Stade Renard local aligne quatre matchs sans victoire. Dimanche dernier, il a été laminé (4-0) par As Fortuna qui en a profité pour revenir à son niveau au classement.
Une spirale négative qui justifie la tenue, lundi dernier, d’une réunion de crise. Présidée par le sous-préfet de l’arrondissement de Melong, elle a réuni autour de la table management, joueurs et staff administratif.
Question de ramener la quiétude dans les rangs pour l’objectif tant visé du maintien. Auteur d’une belle seconde partie de saison, Dragon de Yaoundé n’a pour l’instant connu la défaite que face aux Astres, Unisport et Union. D’ailleurs, il compte actuellement dans ses rangs le meilleur artificier du championnat en la personne de Rostand Mbaï.
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Depuis lundi, les joueurs observent un mouvement de grève. Selon une source interne du club, ceux-ci réclament le paiement des arriérés de salaires qui s’échelonnent depuis le début de saison. Le retour à l’entraînement est conditionné par la satisfaction de cette condition.
Jusqu’au moment où nous mettions sous presse, tel n’était pas le cas. Les efforts de CT pour joindre Max Kome, président de Dragon, sont restés vains
