Samuel Eto’o aurait misé sur les promesses mirobolantes de cette société
Samuel Eto’o est-il une fois encore sur le point de se faire arnaquer ? La question mérite d’être posée après les récentes révélations du journaliste Boris Bertolt à propos des termes du contrat qui lie la Fédération camerounaise de football à l’équipementier suisse Fourteen. Comme l’avait promis One All Sports, la nouvelle marque qui va habiller les Lions Indomptables du Cameroun s’est engagée à offrir à la FECAFOOT un nouveau bus. Petit bémol, le véhicule ne sera disponible qu’après la prochaine Coupe d’Afrique des Nations.
« Le contrat entre la FECAFOOT et le nouvel équipementier prévoit un bus pour les équipes nationales. Sauf que FOURTEEN a indiqué qu’ils donneront le bus en fin d’année c’est à dire après la CAN quand ils auront vendu les maillots », rapporte le journaliste.
En clair Forteen compte sur les entrées qu’elle fera après la vente des maillots des Lions pour honorer ses engagements. Qu’est-ce qui pousse Samuel Eto’o à s’engager avec des marques inconnues ? Avec One All sports, les soutiens de Samuel Eto’o avaient promis au public le contrat du siècle. Samuel Eto’o aurait misé sur les promesses mirobolantes de cette société presque fantôme.
Le contrat avec cet équipementier sans nationalité devrait renflouer les caisses de la Fecafoot et permettre à l’équipe nationale de disposer de bus neufs. Rien ne s’est passé comme prévu et Samuel Eto’o une fois encore a été obligé de mettre fin au contrat de One All Sports. Contraire à l’affaire Le Coq Sportif, la rupture du contrat avec One All sports n’a pas fait de vague. Peu de Camerounais croyaient réellement aux capacités de cette société à honorer ses engagements.