Fecafoot : mystère autour d’une rencontre entre Eto’o et Clément Atangana

• Une image faisant le tour des réseaux sociaux montre les deux hommes posant ensemble

• L’on ignore la date et le contenu des échanges

• Eto’o a officiellement déposé sa candidature ce 17 novembre



Deux mois après avoir annoncé ses intentions, Samuel Eto'o a officiellement déposé sa candidature à la présidence de la Fédération camerounaise de football, ce mercredi à Yaoundé, dans une ferveur populaire.

Ce qui est constant ces derniers jours, c’est que l’ancien attaquant des Lions multiplie les coups d’éclat. Au-delà des soutiens qui fusent de part et d’autres, Samuel Eto'o multiplient les rencontre tous azimuts. Entre autorités sportives, opérateurs économiques et surtout autorités administratives et politiques, le candidat déclaré ne lésine pas sur les moyens pour aller à leur rencontre. Il a besoin davantage de soutien pour valider son billet. C’est dans cette optique sans doute qu’il s’est entretenu avec le président de la Cour Constitutionnelle, Clément Atangana.

L’image montrant les deux personnalités fait le tour sur les réseaux sociaux « Samuel Eto’o Fils a échangé avec le président du Conseil constitutionnel », a indiqué le journal Mutations sur sa page Facebook sans plus de détails.

Beaucoup de mystères entourent cette photo. Pour le moment personne ne sait vraiment quand est-ce qu’elle a été prise ni le contenu des échanges entre eux. Mais ce qui est sûr, Samuel Eto’o est en pleine campagne et toutes les occasions et rencontres sont bonnes pour parler de son projet pour le football camerounais.

L’ex Lion indomptable est d’ailleurs sur la défensive après le dépôt de sa candidature. Il met en garde ses adversaires qu’il accuse de procéder par des manœuvres frauduleuses pour plomber sa candidature. « Je serai le prochain président de la Fédération malgré toutes les tricheries », a-t-il lâché devant la presse, avant d’effectuer une franche mise au point. « Je prie le camp d’en face de faire attention parce que nous avons accepté beaucoup de choses. Si l’un des Camerounais qui a bien voulu me donner son parrainage est éliminé, je viendrai ici avec toute cette foule qui me suit, et même celle des autres régions, pour les déloger. », a-t-il lancé