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L’EFBC: un modèle d’académie au service de la nation

L’EFBC se positionne années après années comme pourvoyeur préférentiel

Mon, 18 Sep 2023 Source: C Foot

Les années se suivent et se ressemblent, la notoriété de la désormais Élite Football Boissons du Cameroun ne cesse de s’accroître. 34 ans d’existence déjà, les générations s’enchaînent à l’EFBC, avec un prestige et une formation qualitativement pas loin des standards internationaux.

De Rigobert Song à Dimitri Manyim passant par Lamkel Zé et Clinton Njié, l’EFBC se positionne années après années comme pourvoyeur préférentiel des équipes nationales du Cameroun.

EFBC, c’est le Cameroun qui gagne !

L’Elite Football Boissons du Cameroun, c’est le visage du made in Cameroon qui s’exporte avec fierté, mais surtout ravitaille les sélections nationales. La saison dernière est la référence la plus éloquente pour illustrer ce visage reluisant d’une académie qui fait la fierté de toute la nation.

En effet, entre les sélections nationales U17, U20, U23, A prime et les seniors, environ 12 joueurs formés à l’EFBC ont activement arboré les couleurs nationales la saison dernière.

Les dernières générations en fin de formation ont ravitaillé les Lions U17 vainqueur de l’UNIFFAC avec les Angel Yondjo, Atalmba et autres Collins Akamba, les U20 avec Dimitri Manyim, et Naguida Aboubakar notamment.

Sur le plan des transferts, ces deux dernières saisons avec les générations 2004 et 2005 ont été parmi les plus intéressantes du 21e siècle en termes de rayonnement par la qualité des transferts. Baleba à Lille (puis Brighton) Mughe à Marseille, Dalbaï et Kamga à Dijon, Biteng à Strasbourg, Naguida Aboubakar à Rennes, Dimitri Manyim à Bordeaux entre autres, les destinations des joueurs formés à l’EFBC renseignent suffisamment sur le sérieux et le crédit qu’accordent les clubs étrangers aux enfants formés à Ndokotti.

Dans un contexte mondial actuellement marqué par une forte concurrence en matière d’offre de formation des jeunes, l’Elite Football Boissons du Cameroun se positionne comme l’ambassadeur camerounais au concert des grands. Au moment où le football jeune est au plus mal au pays de Samuel Eto’o, l’EFBC (et quelques autres académies) est aujourd’hui une sorte d’arbre qui cache la forêt d’un football jeune dans la tourmente.

Avec l’application et le niveau d’exigence y mis dans la formation, nul doute que la sélection nationale fanions, dans quelques années ait une forte coloration EFBC; toute chose qui devrait faciliter l’intégration des jeunes, mais surtout élever la cohésion du jeu de l’équipe du fait des automatismes tissés entre les joueurs depuis l’académie et les sélections nationales de jeunes.

Source: C Foot