Mercato: ces clubs français qui sont derrière Clinton Njié

L’Olympique de Marseille s’en serait bien passé. Le 22 août dernier, alors que le club phocéen avait déjà encaissé la rude nouvelle concernant Mario Balotelli, il recevait un nouveau coup sur la tête en apprenant que le Sporting CP rejetait finalement la venue de Clinton N’Jie sous la forme d’un prêt à payant (1 M€). Si un problème médical a d’abord été évoqué, les deux clubs ont ensuite communiqué sur un échec dans les négociations. N’Jie est donc revenu sur la Canebière, bon gré mal gré, alors que son remplaçant a déjà été trouvé en la personne du Serbe Nemanja Radonjic.

Sur le banc contre le Stade Rennais, Clinton N’Jie, 25 ans et sous contrat jusqu’en 2020, peut donc légitimement se poser des questions sur son avenir. Aura-t-il du temps de jeu à l’OM cette saison ? Plusieurs clubs ont également remarqué la situation de l’international camerounais et pourraient profiter de ce flou artistique. Ainsi, comme le rapporte L’Equipe ce midi, Strasbourg (comme révélé dès hier par Canal Racing) et Saint-Étienne sont intéressés par le profil de N’Jie et sont venus aux renseignements auprès des dirigeants de l’OM !

Strasbourg en quête d’un renfort offensif

La formule est la même que précédemment, à savoir un prêt. Rien ne dit par contre s’il est payant ou non. Le joueur, lui, se poserait des questions, et, après avoir envisagé de passer la saison à Marseille, pourrait finalement changer d’avis. Mais quel club aurait ses faveurs ? Saint-Étienne s’est déjà offert Cabella et Khazri pour occuper des postes offensifs, et a l’intention de faire confiance à Diony en pointe. Robert Beric, pour l’instant doublure, pourrait lui partir.

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Strasbourg, de son côté, a perdu Martin Terrier cet été, et a pour l’instant échoué à recruter un nouvel attaquant (on pense notamment au jeune Parisien Moussa Diaby). Le club de l’est a l’ambition d’étoffer son secteur offensif et a donc des vues sur Clinton N’Jie. Ce dernier n’a pas fini d’animer la fin du mercato de l’OM, alors que du côté des arrivées, le président Jacques-Henri Eyraud a joué la carte de la prudence.