Qatar 2022 : outre Eto'o, un autre leader vise la coupe ou rien

• Le Cameroun a son ticket pour Qatar 2022

• La Coupe du monde ne réussit pas souvent aux nations africaines

• Samuel Eto'o Fils veut briser la malédiction



Le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto'o Fils ne veut rien faire à moitié. Il ne souhaite surtout pas que les Lions indomptables aillent à la Coupe du monde Qatar 2022 dans la peau de victime expiatoire. L’ancien joueur de l’Inter Milan veut rapporter la coupe à la maison et il met les moyens pour y parvenir.

Actuellement, l’équipe nationale du Cameroun se trouve à Dar es Salam pour jouer leur premier match des Eliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations – CAN Côte d’Ivoire 2023. Avec le sélectionneur Rigobert Song Bahanag et leur grand frère Patrick Mboma présent dans la délégation, les joueurs peaufinent les réglages avant d’affronter le Burundi sur la terre tanzanienne.

Après ces échéances, il sera question d’aborder la Coupe du monde en fin d’année. Pour Samuel Eto'o Fils, l’objectif est clair. C’est gagner la coupe ou rien. En 1990, le Cameroun avait déjà atteint le cap des quarts de finale.

Seulement, cette fois, beaucoup de Camerounais sont moins optimistes que l’ancien Lion indomptables. Une chose que regrette l’ancien candidat à la présidence de la Fecafoot, Dr Jean Crėpin Nyamsi.

Il encourage Samuel Eto'o Fils qui à ses yeux, mérite d’être soutenu : « Ne te fatigue pas dans ton rêve de gagner la Coupe du monde. Tu connais déjà ma pensée. Le rêve est mon frère siamois et je suis moi un rêveur ».

Pourquoi avoir toujours les pensées négatives? L’homme n’est-Il pas né pour rêver ? Comme mon papa n’a jamais eu le brevet, moi aussi je n’aurai jamais ce brevet ? Pourquoi les Camerounais sont aussi négatifs ? Vous voulez quoi à la fin ?

Samuel Eto'o Fils place la barre haute et se donne comme challenge, placer son pays parmi les meilleurs à la Coupe du monde Qatar 2022. Il va même plus loin avec le rêve de gagner cette coupe et les analystes de la défaite estiment que le président de la Fecafoot n’a pas lui-même atteint ce niveau de la compétition quand il jouait.