• La Coupe du monde Qatar 2022 est proche
• La CAN 2023 aussi
• Samuel Eto'o Fils met les petits plats dans les grands
Le président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), Samuel Eto'o Fils se trouve actuellement sur le vieux continent pour une grande opération de séduction. A l’approche des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2023) et de la Coupe du monde Qatar 2022, l’ancien attaquant du FC Barcelone veut avoir toutes les chances de son côté, en comptant sur les grands joueurs disponibles.
Les responsables de la sélection nationale camerounaise sont très actifs depuis un moment. D’un côté, le sélectionneur Rigobert Song Bahanag et son staff sont à l’assaut des joueurs locaux qui évoluent dans le championnat national MTN Elite One. De l’autre côté, Samuel Eto'o Fils rassemble les binationaux pour un mixage parfait.
Le président de la Fecafoot a pris l’avion pour aller convaincre des joueurs qui hésitent encore à rejoindre les Lions indomptables. C’est du journaliste Njie Enow que provient l’information.
« Le président de la Fédération camerounaise de football, Samuel Eto'o Fils est en Europe pour convaincre certains binationaux à s’engager pour les Lions indomptables. Parmi certains des noms mentionnés, figurent Bryan Mbeumo, Evan Dicka et plusieurs autres. Samuel Eto'o Fils veut une équipe camerounaise forte pour la Coupe du monde ».
Le gardien de but André Onana le souhaite aussi : « J’aimerais qu’ils soient là. Moi je suis convaincu qu’ils sont Camerounais avant tout. J’espère qu’ils viendront défendre le Cameroun avec nous parce qu’on aura besoin de tout le monde. Je serais vraiment content si les autres nous rejoignaient car le pays a besoin de tous ses enfants pour défendre ses couleurs ».
Le désormais gardien de but de l’Inter Milan évoquait récemment les cas de Joël Matip (Liverpool) et Nicolas Nkoulou (Watford), deux joueurs expérimentés dont les retours sont beaucoup évoqués ces derniers temps.
Tout de même, « nous avons une équipe prête à combattre contre n’importe quel adversaire. J’ai des coéquipiers brésiliens, serbes, suisses avec qui je joue tous les week-ends. Si eux ils peuvent gagner cette compétition, pourquoi pas nous ? », a complété André Onana.