Depuis la rencontre de septembre 2023 entre le président Patrice Talon et le parti Les Démocrates, l'audit du fichier électoral tarde à se concrétiser, suscitant des interrogations parmi les Béninois. Selon Kolawolé Djima Ogbon, député du parti Les Démocrates, l'audit ne doit pas être l'initiative exclusive de son parti, soulignant que d'autres partis de l'opposition sont également impliqués. Après cette rencontre avec le président, le parti de Boni Yayi a entamé des discussions avec les autres formations de l'opposition pour élaborer un projet commun. Ogbon affirme que les réflexions sont désormais achevées et que la balle est dans le camp du gouvernement.
L’opposition a désigné un cabinet d'audit compétent pour réaliser l’audit du fichier électoral, et il est probable qu'un document détaillant le processus ait déjà été remis au président. Le député estime que le pouvoir doit maintenant convoquer les partis impliqués pour discuter des prochaines étapes, notamment la question du financement et des modalités pratiques de l'audit. Selon lui, il n’appartient pas à l'opposition de fixer le coût de l’audit, mais au président d’aborder cette question une fois l’audit approuvé. Depuis la rencontre de septembre 2023 entre le président Patrice Talon et le parti Les Démocrates, l'audit du fichier électoral tarde à se concrétiser, suscitant des interrogations parmi les Béninois. Selon Kolawolé Djima Ogbon, député du parti Les Démocrates, l'audit ne doit pas être l'initiative exclusive de son parti, soulignant que d'autres partis de l'opposition sont également impliqués. Après cette rencontre avec le président, le parti de Boni Yayi a entamé des discussions avec les autres formations de l'opposition pour élaborer un projet commun. Ogbon affirme que les réflexions sont désormais achevées et que la balle est dans le camp du gouvernement.
L’opposition a désigné un cabinet d'audit compétent pour réaliser l’audit du fichier électoral, et il est probable qu'un document détaillant le processus ait déjà été remis au président. Le député estime que le pouvoir doit maintenant convoquer les partis impliqués pour discuter des prochaines étapes, notamment la question du financement et des modalités pratiques de l'audit. Selon lui, il n’appartient pas à l'opposition de fixer le coût de l’audit, mais au président d’aborder cette question une fois l’audit approuvé.