Affaire Marcélo Tsunasi: feuilleton congolais entre drame et histoire d'amour

Marcelo Tunasi, autrefois figure paisible du monde évangélique, est désormais au cœur d’un tourbillon où se mêlent foi, famille, finance et funérailles. Et dans ce théâtre sacré, chacun semble jouer son rôle… sauf peut-être la vérité, qui attend encore son entrée en scène.

Marcelo, dans un élan post mortem, soutient avoir construit une maison à Bibwa pour sa belle-mère. Geste noble ? Pas pour tout le monde. La famille réclame 800 000 dollars. Marcelo propose 250 000. Résultat : clash familial, accusations de diffamation, et des vocaux qui circulent plus vite qu’un verset sur WhatsApp.

- Le rôle de liquidateur des biens communs est contesté. Apparemment, même les bénédictions ont besoin d’un notaire.

Esther entre en scène. Le 23 juillet 2025, Marcelo dit « oui » à Esther Aïcha à Bruxelles. Un an après le décès de Blanche, le pasteur retrouve l’amour… et les critiques.

Il affirme que Dieu lui a envoyé Esther comme parachute émotionnel. Elle serait une femme de prière, venue du Mali, qui l’a sauvé de la noyade spirituelle. Il jure qu’il ne l’a connue qu’après le décès de Blanche. Mais dans les rangs, certains fidèles ont du mal à dire « Amen » sans lever un sourcil.

Entre persécution divine et procès terrestre. Marcelo se dit persécuté, cible préférée des flèches spirituelles et des tweets venimeux. Il exhorte les veufs à ne pas se laisser dépouiller par les familles endeuillées, comme s’il lançait un nouveau ministère : Défense des conjoints survivants.

La communauté est divisée : entre ceux qui voient en lui un Job moderne, et ceux qui réclament une enquête digne de Sherlock… version RDC.