Six mois après un concert à guichets fermés au Petit Journal Montparnasse, le bassiste-vocaliste Richard Epesse est de retour ce 25 mars dans la même salle avec un répertoire inédit tout en spiritualité, AfroJazzGospel. Il s'est confié à Jeune Afrique.
Six mois après un concert à guichets fermés au Petit Journal Montparnasse, le bassiste-vocaliste Richard Epesse est de retour ce 25 mars dans la même salle avec un répertoire inédit tout en spiritualité, AfroJazzGospel. Il s'est confié à Jeune Afrique. En 2014, il avait enchanté le public avec son AfroJazzMix. C’était à la fois le deuxième album d’un grand chanteur, mais aussi celui d’un vrai et habile compositeur qui laisse vivre et respirer ses morceaux sous des notes cristallines. D’une voix étonnamment souple, le jazzman camerounais déroulait une série d’hommages : A une mère disparue (Ewesse Party), A un fils fruit d’amours lycéennes (Muna).