Le vendredi 26 Septembre 2016 dans la capitale économique, l’on assiste au lancement des activités du quatrième opérateur étranger de téléphonie, en partenariat avec l’entreprise AFRIMAX pour un rendu exceptionnel dans les services de données 4G-LTE, sous la bannière VODAFONE CAMEROUN. Le groupe qui était venu en grand renfort de publicité sous le slogan « Je crée Tomorrow », annonçait également l’ouverture de plusieurs boutiques et kiosques à travers le triangle national. Vodafone qui se plaçait déjà en ambition de conquérir de nouveaux marchés à travers des offres de collaborations hautement concurrentielles.
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Dès son installation dans le territoire, le groupe se soumet donc au traditionnel exercice de paiement pour la commercialisation du service 4G, aux abords d’un milliards de FCFA comptant frais de régulation. VODAFONE CAMEROUN s’acquittera auprès de l’Etat près de trois milliards de FCFA en frais supplémentaires. Soit deux milliards de F.CFA pour le paiement des taxes et impôts. Pendant ce temps, les dossiers d’étude pour l’attribution d’une licence d’exploitation étaient en cours.
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C’est une mèche venue tout de même des déclarations récentes de la ministre des Postes et Télécommunications, Minette Libom Li Likeng, face aux députés de la nation et les médias en Aout dernier, qui ouvrira la polémique. Elle indiquait alors que Vodafone ne s’était pas installé de manière légale au Cameroun. Le signalement du ministère effectué auprès de l’ART dirigée par Jean Louis Beh Mengué, sera effectif par une notification de retrait de licence de la société NORTHWAVE SARL à travers une correspondance du 12 Septembre 2017.
Une décision qui sonnera le cauchemar de l’entreprise, à travers la supercherie découverte de l’entreprise VODAFONE fait à ciel ouvert, objet de notre ACTE 2 dès demain.