Le Siarc ou la vitrine du 'Made in Cameroon'

Siarc Vitrine Artisanat Cameroun L’évènement se tiendra du 26 avril au 5 mai 2018 au Palais des congrès de Yaoundé

Thu, 12 Apr 2018 Source: Barometre

Le Salon international de l’artisanat du Cameroun (Siarc) devient au fil du temps, la vitrine de l’artisanat camerounais. Pour la 6ème édition, qui va du 26 avril au 5 mai 2018, ce sont les filières images, édition et imprimerie ; les filières bois, métaux, cuir et peau, pierre et roche ; la filière construction de bâtiments et des travaux publics, sculpture, habillement qui seront de la partie. Il sera question, durant cet évènement, de présente le savoir-faire artisanal et le «Made in Cameroon» (fabriqué au Cameroun) à l’international. L’information a été rendu publique lors du point de presse que donne le ministre des Petites et moyennes entreprises de l’économie sociale et de l’artisanat (Minpmeesa), Laurent Serges Etoundi Ngoa, ce jeudi 12 avril, au Centre international de l’artisanat de Yaoundé. Le thème retenu pour cette année est : «L’artisanat africain et le commerce équitable : enjeux et perspectives». Pour cette édition, ce sont plus de 3000 exposants, venus des dix régions du Cameroun, pour rivaliser de savoir-faire avec leurs collègues d’autres pays africains et européens. Le Siarc est à la fois festif, populaire culturel, touristique, économique, et ouvert aux créations artisanales des cinq continents.

Le Salon international de l’artisanat du Cameroun (Siarc) devient au fil du temps, la vitrine de l’artisanat camerounais. Pour la 6ème édition, qui va du 26 avril au 5 mai 2018, ce sont les filières images, édition et imprimerie ; les filières bois, métaux, cuir et peau, pierre et roche ; la filière construction de bâtiments et des travaux publics, sculpture, habillement qui seront de la partie. Il sera question, durant cet évènement, de présente le savoir-faire artisanal et le «Made in Cameroon» (fabriqué au Cameroun) à l’international. L’information a été rendu publique lors du point de presse que donne le ministre des Petites et moyennes entreprises de l’économie sociale et de l’artisanat (Minpmeesa), Laurent Serges Etoundi Ngoa, ce jeudi 12 avril, au Centre international de l’artisanat de Yaoundé. Le thème retenu pour cette année est : «L’artisanat africain et le commerce équitable : enjeux et perspectives». Pour cette édition, ce sont plus de 3000 exposants, venus des dix régions du Cameroun, pour rivaliser de savoir-faire avec leurs collègues d’autres pays africains et européens. Le Siarc est à la fois festif, populaire culturel, touristique, économique, et ouvert aux créations artisanales des cinq continents. Il faut rappeler que la première édition a eu lieu du 25 janvier au 2 Février 2008, la deuxième du 22 au 31 janvier 2010, la troisième édition 23 Janvier au 02 Février 2012. La quatrième a eu lieu en 2014 et la cinquième le jeudi 31 Mars 2016. Au Cameroun, on estime au-delà de 5% la contribution de l’artisanat dans le produit intérieur brut (Pib) du pays. Conscient de la nécessité de valoriser le secteur artisanal pour mieux booster sa contribution à la lutte contre la pauvreté, à la création des richesses et des emplois, le président de la République, Paul Biya, a promulgué, le 3 juillet 2007, la loi régissant l’artisanat au Cameroun. Aux termes de ce texte, les artisans et les entreprises artisanales peuvent pré- tendre à plusieurs avantages et services. C’est ainsi que l’Etat veille à la mise en place des mécanismes qui garantissent aux artisans et aux entreprises artisanales l’information et le conseil de base, l’assistance individuelle à la gestion, l’assistance technique collective, l’assistance technologique et l’assistance commerciale. Toutes choses qui devraient permettre aux artisans de mieux respecter leurs obligations administratives, fiscales, comptables, sociales et juridiques ; une bonne tenue des comptes ; une mise au point et un suivi des informations permettant de porter un diagnostic sur leurs performances ; le calcul du prix de revient et l’élaboration de programmes prévisionnels ; la préparation de projets d’investissement et la réalisation du plan de financement ; l’élaboration du tableau de bord faisant ressortir toutes les données économiques d’une zone d’implantation ; la réalisation d’études globales de marchés, nécessaires aux décisions relatives à l’implantation et à l’orientation des activités ; la mise en place des possibilités de partenariat et de sous-traitance.

Source: Barometre