Réunion extraordinaire du Cames: Le secrétariat général confond les adversaires du recteur Sosso

Du 28 février au 02 mars 2022, le Conseil Africain et Malgache pour l'Enseignement Supérieur (CAMES), a tenu une réunion extraordinaire à l'Université Gamal Abdel Nasser de Conakry (Guinée Conakry). Le conclave était, entre autres, consacré au renouvellement des dirigeants de l'instance africaine de l'Enseignement supérieur. Recteur de l'Université de Yaoundé I, le Prof. Maurice Aurélien SOSSO qui a présidé avec maestria aux destinées du CAMES, deux mandats durant, faisant ainsi honneur au Cameroun son pays d'origine, a, selon les textes régissant le CAMES, cédé le fauteuil de Président du Comité Consultatif Général du CAMES (CCG - CAMES), au Prof. ALY AHMADOU MBAYE, Recteur de l'Université Cheihk Anta Diop de Dakar au Sénégal. Ainsi, a pris fin, dans la gloire, l'honneur et la dignité, le magistère du Prof. Maurice Aurélien SOSSO, à la tête du CAMES. L'aura de l'éminent universitaire camerounais, Maître de Conférences Agrégé (Agrégation de Paris) de Médecine - chirurgie - à 36 ans, est très loin de plaire à certains de ses compatriotes, piètres universitaires aux parcours douteux, flous et sujets à caution. Quel plus grand honneur pour le Prof. Maurice Aurélien SOSSO, l'humble et dévoué serviteur du Chef de l'État, Son Excellence Paul BIYA, d'avoir, une fois de plus, été honoré par le Président de la République, Grand Chantre de la Modernité universitaire, par le prolongement de sa carrière d'universitaire respecté partout dans le Monde !

Que voici, un obscur et obscurantiste, pseudo lanceur d'alerte dont l'évocation du seul nom serait lui faire honneur, a tôt fait, de se ( re)mettre au service de ses commanditaires et "employeurs" tapis dans les ombres funestes et les ombrages ténébreux au sein même de l'Université de Yaoundé I : débiter des inepties, de sottes et stupides calomnies dénuées de toute intelligence ( même primale ), à l'endroit du Président de l'Université de Yaoundé I, celui-là même qui, deux mandats durant, a occupé le poste de Président du Comité Consultatif Général du CAMES, ayant été de ce fait, une sorte de Président des Recteurs du continent.

Je vous propose l'intégralité du communiqué du Secrétariat Général du CAMES, lequel confond ces délateurs aux petits souliers qui, ont encore vainement, voulu faire du Recteur de l'Université de Yaoundé I, la victime expiatoire de leurs déceptions et frustrations, même si, le bon sens et la tolérance, nous commanderaient de reconnaître en leur activisme, ce qu'on appelle les droits des perdants. Avec cette autre fable sur le Prof. Maurice Aurélien SOSSO, encore portée par l'activiste exilé, Boris SANDJE BERTOLT, l'on comprend alors définitivement, et de façon flagrante, que tout ce qui se dit tous les jours ( régulièrement) du Recteur de l'Université de Yaoundé I, n'est que pure cabale et délation d'un camp de hiboux dont le malheur est de sortir de jour exercer, oubliant malheureusement que les hiboux sont des oiseaux nocturnes et noctambules.

Démenti sur les allégations mensongères sur le passage de témoin du Pr Maurice Aurélien SOSSO, comme Président sortant du CCG - CAMES

Conakry, le 03 mars 2022

Le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur (CAMES) porte à la connaissance du grand public qu’il lui a été donné de constater la circulation sur les réseaux sociaux d’un message intitulé « Maurice Aurélien SOSSO vient d’être viré du CCG-CAMES pour manquement grave à l’éthique et à la déontologie de l’enseignement supérieur ».

Le Secrétariat général du CAMES dément cette information et tient à préciser que le Pr Maurice Aurélien SOSSO est arrivé au terme de son mandat à la tête du Comité Consultatif Général (CCG), dont la durée était de trois (3) ans, renouvelable une fois, conformément à l’article 5 de l’Accord portant création et organisation des Comités consultatifs interafricains de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.

Le Pr Maurice Aurélien SOSSO n’a guère été « viré » de la présidence de cet organe pour un quelconque « manquement à l’éthique et à la déontologie de l’enseignement supérieur ». À ce jour, aucune plainte n’a été déposée à son encontre auprès de la Commission d’éthique et déontologie du CAMES, seule habilitée à proposer des sanctions qui sont prises par le Conseil des Ministres du CAMES, lorsque les faits incriminés sont avérés.