Il a été mis aux arrêts et placé en garde à vue au commissariat du 12e arrondissement de Bonamoussadi, dans le 5e arrondissement de la ville de Douala
Selon les familles des présumées victimes, les abus durent depuis 2012. Pour attirer ses « proies », le présumé violeur, offrait des bonbons et biscuits à ses victime. Une fois sa sale besogne terminée, le hors-la-loi menaçait de mort ses victimes, si elles divulguaient le secret
Une enquête a été ouverte et, si le mis en cause est reconnu coupable, il pourra écoper entre 5 et 10 ans de prison