La jeune femme a ainsi affirmé lui avoir tiré dans le thorax et dans la tête
C’est un cr!me crapuleux qui secoue la France et la communauté camerounaise de Toulouse. Porté disparu depuis le 18 avril 2024 à Mazamet, Jean-Baptiste Moutassie (29 ans) surnommé « Doug Saga », a été confirmé m0rt. Sa compagne a avoué son meurtre aux enquêteurs.
En effet, personne n’avait de nouvelles de Jean-Baptiste Moutassie depuis le 18 avril 2024, quand ce dernier avait quitté son domicile à Mazamet, en route pour rejoindre une aire de covoiturage. Quelque temps plus tard, la police nationale du Tarn avait émis un avis de recherche avant l’ouverture d’une enquête confiée par le parquet de Castres au pôle criminel de Toulouse.
La compagne de Jean-Baptiste, avec laquelle il avait eu un enfant, a finalement avoué l’avoir tué en utilisant une arme à feu, aujourd’hui toujours introuvable. La jeune femme a ainsi affirmé lui avoir tiré dans le thorax et dans la tête, dans leur domicile tarnais. Des révélations qui interviennent au terme d’une longue enquête.
Des éléments troublants, notamment des travaux de rénovation suspects effectués dans le domicile du couple peu après la disparition, ont conduit les enquêteurs à intensifier les investigations.
Le corps sans vie de la victime a finalement été retrouvé dans une rivière.
À Lyon comme au Cameroun, l’émotion est vive et la justice est attendue.
La mise en cause tente aujourd’hui d’invoquer la légitime défense, une version fortement contestée au regard de la durée de la disparition et des faits de maquillage présumés.
C’est un cr!me crapuleux qui secoue la France et la communauté camerounaise de Toulouse. Porté disparu depuis le 18 avril 2024 à Mazamet, Jean-Baptiste Moutassie (29 ans) surnommé « Doug Saga », a été confirmé m0rt. Sa compagne a avoué son meurtre aux enquêteurs.
En effet, personne n’avait de nouvelles de Jean-Baptiste Moutassie depuis le 18 avril 2024, quand ce dernier avait quitté son domicile à Mazamet, en route pour rejoindre une aire de covoiturage. Quelque temps plus tard, la police nationale du Tarn avait émis un avis de recherche avant l’ouverture d’une enquête confiée par le parquet de Castres au pôle criminel de Toulouse.
La compagne de Jean-Baptiste, avec laquelle il avait eu un enfant, a finalement avoué l’avoir tué en utilisant une arme à feu, aujourd’hui toujours introuvable. La jeune femme a ainsi affirmé lui avoir tiré dans le thorax et dans la tête, dans leur domicile tarnais. Des révélations qui interviennent au terme d’une longue enquête.
Des éléments troublants, notamment des travaux de rénovation suspects effectués dans le domicile du couple peu après la disparition, ont conduit les enquêteurs à intensifier les investigations.
Le corps de la victime a finalement été retrouvé dans une rivière.
À Lyon comme au Cameroun, l’émotion est vive et la justice est attendue.
La mise en cause tente aujourd’hui d’invoquer la légitime défense, une version fortement contestée au regard de la durée de la disparition et des faits de maquillage présumés.
C’est un cr!me crapuleux qui secoue la France et la communauté camerounaise de Toulouse. Porté disparu depuis le 18 avril 2024 à Mazamet, Jean-Baptiste Moutassie (29 ans) surnommé « Doug Saga », a été confirmé m0rt. Sa compagne a avoué son meurtre aux enquêteurs.
En effet, personne n’avait de nouvelles de Jean-Baptiste Moutassie depuis le 18 avril 2024, quand ce dernier avait quitté son domicile à Mazamet, en route pour rejoindre une aire de covoiturage. Quelque temps plus tard, la police nationale du Tarn avait émis un avis de recherche avant l’ouverture d’une enquête confiée par le parquet de Castres au pôle criminel de Toulouse.
La compagne de Jean-Baptiste, avec laquelle il avait eu un enfant, a finalement avoué l’avoir tué en utilisant une arme à feu, aujourd’hui toujours introuvable. La jeune femme a ainsi affirmé lui avoir tiré dans le thorax et dans la tête, dans leur domicile tarnais. Des révélations qui interviennent au terme d’une longue enquête.
Des éléments troublants, notamment des travaux de rénovation suspects effectués dans le domicile du couple peu après la disparition, ont conduit les enquêteurs à intensifier les investigations.
Le corps de la victime a finalement été retrouvé dans une rivière.
À Lyon comme au Cameroun, l’émotion est vive et la justice est attendue.
La mise en cause tente aujourd’hui d’invoquer la légitime défense, une version fortement contestée au regard de la durée de la disparition et des faits de maquillage présumés.
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