Une femme agressée puis tuée par un chauffeur de taxi à Yaoundé

Agression à main armée

Tue, 18 Jan 2022 Source: www.camerounweb.com

Elle s'appelait Marie Claire

Elle a été agressée

Son agresseur est en fuite

La mauvaise nouvelle est tombée comme un couperet dans sa famille. Il y a quelques jours, une dame du nom de Marie-Claire a été agressée puis tué par un chauffeur de taxi à Yaoundé. Ses proches n'ont pas voulu raconter ce qui s'est passé. Mais une source sécuritaire indique que la dame avait emprunté le taxi dans la nuit revenant d'un voyage, c'est chemin faisant qu'elle a été tuée puis abandonnée. Ses effets ont été emportés et le chauffeur reste introuvable. Sur la toile l'affaire suscite de l'indignation. "Chauffeur taxi bandit, criminel continuez de tuer les pauvres Camerounais avec vos complices dans vos voitures, ce qui est sûr, vous n'échapperez pas au force de l’ordre. Repose en paix Marie Claire", a écrit une internaute.

A Yaound2 des cas d’agression se multiplient. Il y a quelques mois, les éléments du groupement spécial d’opération avaient mis la main sur des bandits qui s’étaient spécialisés dans les agressions de passagers de taxis. Ils avaient été interpellés au quartier Omnisport à Yaoundé. Ils sont accusés d’agression et de vol en taxi dans la ville.

«Il est question du « serrer-serrer ». Détenteur d’un taxi, Emmanuel Abena et ses coéquipiers arpentent les rues de la vie pour s’emparer des effets personnels et prendre de l’argent à des individus. Ayant déjà fait plusieurs victimes, ledit taxi faisait l’objet de recherche par les éléments de la police». «Dans le procès-verbal présenté au tribunal, les quatre individus vont reconnaitre les faits et donner des détails sur leur mode opératoire. Emmanuel Abena aurait passé un coup de file à ses complices de le rejoindre à 6 h du matin pour vaquer à leur occupation journalière. Dans cette bande, on retrouve deux femmes. Leur présence permet de mettre la victime en confiance. Celle-ci ne se doute qui ne se de rien en empruntant un taxi avec des femmes à bord. Auditionnés pour la première fois le 15 juin dernier, ces individus vont plaider non-coupables»,

Source: www.camerounweb.com