Akéré Muna n’a jamais été un ennemi du régime Biya- Ndzana Seme

Pour l’ancien directeur de publication refugie politique aux etats-unis, l’ancien batonnier de l’ordre des avocats du cameroun serait un candidat de l’ordre neocolonial.

Amadou ali et Marafa avaient en debut 2000 plaide devant l’ambassadrice des Etats-unis le retour du pouvoir au nord, d’apres wikileaks. L’un est en prison et l’autre écarte du pouvoir et mourant.

Akere a pour mission de venir taire la contestation anglophone en guerre actuellement contre la francafrique, en leur miroitant le fédéralisme pour à la fin retomber sur la République du Cameroun décentralisée.

S’il prend le pouvoir par donation, il va nourrir les anglophones de toutes les promesses mensongères, gagner le temps et maintenir le système de LRC.

Rappelons que, contrairement à John Ngu Foncha, que le systeme néocolonial trimballa dans les postes vides de vice-président et autres, Solomon Tamdeng Muna était intègre au système en tenant le tout puissant poste du Président de l’Assemblée Nationale qui fit prêter serment a Paul Biya en 1982.

Les Muna n’ont jamais été des ennemis de Paul Biya et son système, malgré les gesticulations d’Akere à Transparency International pour avoir accès aux chancelleries occidentales.

Je demandais a Bernard Muna quel genre d’opposant il est mais qui n’avait pas manifeste dans la rue en février 2008 avec les camerounais qui furent ensuite massacres. Ben me répondit qu’il ne peut pas manifester avec les «vandales», répétant la même étiquette que le régime Biya avait collée aux victimes.

Ama Tutu muna est la plus grande supporter de Paul Biya, qui a volé au ministère de la culture comme tous les autres, mais reste protégée par Paul Biya.

Akere Muna, qui vient d’être doublé par d’autres requins du système dans une tentative d’obtenir l’argent de Paul Biya (info en exclusivité de bonne source), est un avocat dont le plus grand client est LRC.

Il attribua le 6 juin 2014 le prix de «la résolution pacifique des conflits» a Paul Biya, après s’être fait entourer de Thabo Mbeki et des «avocats panafricanistes», empochant ainsi en retour une grosse enveloppe des mains du dictateur camerounais aujourd’hui incapable de résoudre pacifiquement la crise anglophone et se cache a l’étranger.

Akere Muna est le candidat du système néocolonial de LRC, et non pas celui du peuple que ce système considère comme son ennemi.

Il a annoncé sa couleur en promettant qu’il assurera l’impunité de Paul Biya s’il prend le pouvoir.

Faux opposant, il n’a rien dit sur les milliers d’exécutions sommaires du commandement opérationnel, rien sur les massacres de février 2008, et nulle part on ne l’a vu manifester avec les anglophones, ni au sud-ouest ni au nord-ouest.

Les candidats du système néocolonial, comme Akere Muna, Maurice Kamto ou Ben Muna, ne sont jamais a la tête des manifestations interdites par le système, et jamais là où la police et les BIR interviennent.

Même a l’enterrement de l’un quelconque des jeunes manifestants anglophones tues par les escadrons de la mort de LRC, vous ne verrez ni Akere Muna, ni Ben Muna, ni Ama Tutu Muna, ni un Maurice Kamto.

Akere Muna, comme son père Tandeng Muna, est un françafricain pousse pour devenir le prochain Paul Biya du Cameroun.

Patriotes camerounais, restons plus que vigilants!

Ne permettons pas que l’histoire de l’escroquerie politique du système néocolonial se répète au Cameroun, en nous imposant un autre fantoche au pouvoir!