Quand les anglophones se déversaient dans les rues depuis décembre 2016 jusqu'au 1er octobre 2017, les francophones se moquaient d'eux et demandaient même à leurs bandes armées terroristes biyaistes de les tuer plus qu'ils ont fait.
Aujourd'hui, cette jeune fille, qui n'est pas la seule, leur montre que les anglophones ne sont pas des poules mouillées francophones, tremblant de peur et pissant sur leurs lits quand ils entendent le mot BIR. Elle n'est pas comme les jeunes filles francophones de son âge, qui passent tout leur temps a se prostituer dans les rues pour s'en sortir vivantes dans la pauvreté que Paul Biya a installée dans tout le pays.