Après la chute de Biya, le nouveau régime va fermer plusieurs médias

La nécessaire régulation du secteur médiatique camerounais qui est devenu un véritable Far West médiatique où le discours de haine se la discute avec l'abrutissement des masses.

A observer les contenus proposés par certains médias, une évidence s'impose : ces médias ne survivraient pas dans un secteur médiathèque correctement régulé, où le discours de haine et le tribalisme seraient réellement réprimés.

En effet, si un régime soucieux de l'hygiène mentale de la société arrivait au pouvoir et impulsait un assainissement de l'environnement médiatique, plusieurs médias seraient contraint de fermer les portes . Pas parce qu'on les y a contraint par la force, mais parce que leur fonds de commerce, la haine tribale, ne trouverait plus preneur.

Vivement que ce moment arrive pour que la télévision, la presse écrite et le journalisme en général redeviennent l'apanage des seuls véritables professionnels du métier. Et non plus cette jungle médiatique où des aventuriers de tout poil et des opportunistes en quêtes de prébendes ternissent l'image d'un métier noble par la normalisation de la médiocrité.

Ah oui cette médiocrité c'est ce qu'il faut extirper du secteur médiatique Camerounais. Car c'est elle qui pousse des journalistes paresseux à vendre leurs âmes ou à abrutir les masses plutôt que de vendre des productions de qualité pouvant pousser à l'élévation.