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Bourdes des Journalistes de la CRTV: un camerounais écrit à Charles Ndongo

Charles Ndongo, Sauvé Charles Ndongo, le directeur de la CRTV

Dim., 8 Juil. 2018 Source: BOUTOUT LOMBEKE

Je vous demande d'instruire vos collaborateurs, certains journalistes assez complexés, de mettre un frein à leur enthousiasme renversant lorsqu'il parle du nouveau nonce apostolique, Monseigneur Julio Murat, ayant présenté ses lettres de créance vendredi 06 juillet 2018, au président de la république du Cameroun, le sieur Paul Biya, en qualité d'ambassadeur de l'État du Vatican.

Monsieur Charles Ndongo, il n'est rien d'extraordinaire dans cet enchantement de vos collaborateurs à présenter Monsieur Julio Murat pour un homme qui parle 5 langues. Rien d'extraordinaire, absolument. Encore qu'il faille admettre qu'il ne parle pas 5 langues, que logiquement il devrait justement parler 6 langues, (italien, français, anglais, allemand, grec et turc) puisqu'il est turc, probablement appartenant a cette minorité grecque restée en Turquie jusqu'à nos jours.

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Monsieur Charles Ndongo, et d'entendre vos collaborateurs faire de la faculté de sieur Julio Murat l'objet d'une qualité extraordinaire, ceci m'est obligatoirement frustrant et révoltant.

Moi BOUTOUT LOMBEKE, j'ai couramment et bien parlé dans les rues d'Europe, dans les amphithéâtres européens anglais, italien, espagnol, allemand, français, portugais, et à la fois essayant de lire le latin, le grec, le russe, le chinois, le japonais. Je fus arrêté dans cet exploit justement par cette mafia du judéo-christianisme, qui, avec brutalité et violence, m'a obligé à quitter ces universités, et plus tard le monde occidental.

Monsieur Charles Ndongo, cette mafia du judéo-christianisme ne s'arrêta pas qu'en Europe, mais ses incommensurables tentacules au Cameroun réussirent également à me neutraliser ici, avec pour simple méthode de me garder sous de terribles conditions à ne point avoir la pratique de ces langues.

Monsieur Charles Ndongo, Directeur de la CRTV, je vous demande donc s'il est possible d'avoir fait ce parcours dont mentionne ce document ici sans parler toutes ces langues?

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Monsieur Charles Ndongo, vous et la CRTV arrêtez un peu. Quand j'étais enfant je parlais couramment Bulu avec mes camarades d'école primaire à Ebolowa, ajoutez donc les Douala et Bassa. Combien de langues face à celles de sieur Julio Murat ? Faites moi être tué.

Auteur: BOUTOUT LOMBEKE