Qui ne parle pas fort aujourd'hui ne pourra même pas l'ouvrir demain pour se faire entendre
C'est la conclusion à laquelle est arrivée l'activiste Zona Coker après analyse approfondie des conditions de vie des Ekang qui sont généralement considérés comme étant les principaux soutiens au régime de Paul Biya.
Voici la route Ebolowa-Kribi en passant par Akom 2 le village de la famille conquérante des Dr inutiles qui pourrissent la vie au peuple Beti. Les seuls véhicules qui n'ont pas beaucoup souffrance ici ce sont les grumier qui vident notre forêt de son essentiel pour remplir les poches des machiavels du sud et de leurs complices qui font la loi au Cameroun. Ces traîtres que Biya Bi Mvondo et sa secte utilisent pour abroutir, zombifier, envoûter, brimer, maltraiter et museler le peuple Beti. Opération tout pour eux et rien pour les autres. Ekang de nom mais Tontinards-talibans dans l'âme et dans l'ADN.
Tandis que le père Joseph Zezelote pour se positionner et placer ses enfants a passé le temps à s'asseoir sur les rêves des enfants des autres et à hypnotiser la jeunesse camerounaise en signant leurs diplômes selon les rites sectaires (c'est Marlène Emvoutou dont le BAC a été signé un dimanche jour de pâques qui l'a expliqué ), le fils Mathias Eric Zezelote pour sa cooptation dans la secte et une récompense par décret a passé des années à faire la propagande de la guerre du NO-SO et à régler ses comptes à ses frères Bamileke qui ont arrachés le parti qu'il a créé pour renverser Biya Bi Mvondo. Nous voilà aujourd'hui avec une guerre qui tue les enfants des pauvres en terre anglophone, un conflit de pouvoir entre le clan Bulu et leurs associés Bamileke dans lequel tout le peuple Ekang prend des coups et subit des humiliations.
Pendant ce temps sa sœur félicité Zezelote à peine mariée nous sort le baratin pour nous expliquer pourquoi la femme d'origine Bamileke et Bassa qu'elle et s'accrochera à jamais comme une sangsue au nom Ekang. Aurait-elle épousé Franck Biya, je ne pense pas que la Nkapitaliste nous aurait tenu ce discours-là. Pour couronner le tout, son frère Mathias Zezelote vient nous expliquer que les véritables autochtones en terre Beti sont des Bassa comme leur mère. Mais quelle injure! La famille Zezelote joue tout simplement sur tous les bords. Un Bulu reste au pouvoir, ils ont déjà fait ce qu'il faut pour y être avec lui, un Bamileke le prend ils deviendront des Bamileke qu'ils sont et les créateurs du MRC qui nous le feront encore plus dur que maintenant, le Bassa prend le pouvoir, ils seront des bénéficiaires parce que le père Zezelote a épousé une Bassa, ce qui des enfants Zezelotes des bassa comme les autres. Naturellement avec le récent discours de Mathias Zezelote sur l'autochtonie Ekang, il faudrait s'attendre à ce que le découpage des régions dans un tel scénario ronge les terres Beti au profit des bassa. Que qui est fou? Je suis dans l'obligation de parler pour la survie du peuple Beti, c'est le seul peuple que j'ai. Que ceux qui veulent rester dans cette zombification sataniste à vie en sacrifiant l'avenir de leurs enfants le fassent. Je suis né libre dans ma tête et le resterais; ma parole aussi.
La vidéo ci-dessous montre le calvaire que vivent les autochtones de la route de l'impossible Ebolowa-Akom 2-kribi dans leur quotidien. 10 heures de temps et près de 10 contrôles d'escroquerie de la police, de la gendarmerie, de la douane et des eaux-et-forêts pour moins de 150 km. Comme la promesse de la CAN 2019 qui a glissée, il paraît que Biya Bi Mvondo a promis à ces autochtones une route bitumée qu'ils attendent toujours dans un glissement boueux. A quelle heure la famille? Si Biya Bi Mvondo peine lui-même à finir la guerre qu'il a commencée au NO-SO et son propre stade qui représentent son héritage au peuple camerounais, ce n'est pas du bitume qu'il perdra sur vous qui est incapables de vous lever pour réclamer votre dignité et pour votre propre survie. Tant que le bois que lui et ses complices coupent dans vos forêts et ses grumiers ne rencontrent pas les mêmes difficultés que vous les autochtones, tout va bien pour lui. La liberté, la dignité et le pouvoir s'arrachent, c'est ce que les anglophones et les Bamileke font et ils gagnent à tous les coups. Qui ne parle pas fort aujourd'hui ne pourra même pas l'ouvrir demain pour se faire entendre. ABIM TE !
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