La rencontre entre camerounais et le président de la Caf a mis un terme aux rumeurs de report de la Can sur le sol camerounais. Cela suscite une vague de mea-culpa des camerounais ayant fait du dénigrement de leur pays et de leurs institutions un métier. Qu'est ce qui peut justifier un tel revirement ?
Paul Biya met fin à la folle rumeur
Des rumeurs fondées d'annulation de la 33ème édition de la CAN en terre camerounaise ont fait les choux gras des médias nationaux et internationaux. Durant plusieurs jours les médias suscitaient la réticence quant à la capacité du pays de Paul Biya de garantir la sécurité sanitaire des participants à la Can sans vraiment pouvoir apporte des justificatifs qui pourraient illustrer cette thèse maladroite. Une réunion s'est même tenue tout d'abord au Caires puis au Qatar. Au final c'est Paul Biya qui a fini par avoir le dernier mot. Tout le monde entier s'est incliné à la volonté du Bâtisseur infatigable. Dès lors plusieurs détracteurs du Cameroun ont retourné leur veste est-ce par conviction ou alors par simple cupidité ?
Fopoussi, Nganag et compagnie détracteurs hier enfants prodigues aujourd'hui ?
C'est connu de tous que la chaîne de télévision Equinoxe est une chaîne partisane qui a toujours présenté le pays de Paul comme un véritable non Etat.
Et ses journalistes pour l'immense majorité s'y plaisent dans ce jeu. Le Cameroun est une dictature, un pays corrompu où les ministres sont de mauvais gestionnaires et que la liste est longue. Un pays incapable d'organiser une Can. Si pour ceux d'Équinoxe les insultes sont biens maquillés de telle sorte à ne pas véritablement donner lieu à des procédures judiciaires sous forme de délit de presse. Ce n'est pas le cas d'une certaine diaspora qui a trouvé du pain béni dans les insultes et le dénigrement des autorités. Patrice Nganang, Remy Ngono et les sulfureux de la BAS sans compter les terroristes Ambaboys. Cette minorité de la Diaspora a passé plus de 5 ans à déconstruire la splendide image du Cameroun ici et ailleurs au moment où les autres cette majorité silencieuse a combattait corps et âme pour leur pays aux côtés de leur chef de l'Etat Paul Biya. Le temps de la moisson a sonné, on voit les détracteurs d'hier venir se fondre en enfant Prodigue. Si notre pays avait failli auraient-ils souhaité venir au pays où rien ne va, dans cette enfer planétaire comme eux même le disent souvent au du génocide ? Non.
Paul Biya et le pays pardonnent mais n'oublient pas !
C'est eux qui ont persécuté la tombe où dorment leur père, le jardin que leurs aïeux ont cultivé. Ils ont décidé d'aller assassiner leur aîné à l'hôpital américain de Paris sans raison. Voilà que leur vient l'envie de rentrer au pays, ils implorent le père de la Nation de leur pardonner. Il le fera certainement. S'il l'a fait pour ceux qui assassinent les compatriotes au Nord-Ouest et au Sud-Ouest en les amnistiant des que ceux-ci déposent les armes. Il le fera certainement pour les autres. Il est le mendiant de la paix. Mais il faut bien savoir pour ceux-là qui hier était les persécuteurs du 237 , réfléchir sur l'attitude du frère de l'enfant prodigue resté aux côtés de son père pendant que l'enfant Prodigue d'aujourd'hui dilapidait les biens à l'étranger. On pardonne mais on.n'oublie jamais.