Cameroun : 'j’ai eu des rapports sex3uels avec un cadavre'

• Une jeune étudiante fait la rencontre d’un homme

• Elle a été invitée dans la maison du monsieur

• Il lui propose une partouze, la 3è personne étant un cadavre

Une jeune étudiante raconte le calvaire qu’elle a vécu dans les rues de Yaoundé à cause qu’une relation amoureuse qu’elle entretenait avec un homme riche.

«Je fais niveau 3 et j'ai 24 ans. Quand j'ai eu mon bac je suis entrée à l'université je me sentais aux anges. J'ai fait la rencontre d'un monsieur, tout allait bien entre nous vu que c'est ce que moi je voulais, un monsieur riche, beau, âgé. Un jour, il me demande de venir chez lui à Ngousso, vers mobile omnisport. J’y suis allée, il est venu me prendre au carrefour avec sa grosse voiture et tous les moto taximen nous regardaient. On arrive à la maison, des choses que je vois à la télé le lux de Las Vegas. J'avais peur d’une telle grande maison. Le monsieur entre dans la chambre et y passe 1h de temps en me disant qu'il prie. Quand il sort, il me retrouve au salon avec la sueur qui coulait comme l'eau et me demande de venir. Il ouvre une marmite pleine d’argent. J’ai commencé à imaginer une belle voiture dans ma vie », raconte la jeune étudiante.

Elle continue en expliquant que le monsieur lui a proposé des pratiques bizarres. Elle n’a pas refusé par amour pour l’argent et cet acte a conduit à des conséquences graves.

«Il me dit que si j’accepte une partouze, tout cet argent sera pour moi. Je n’ai pas refusé mais je lui ai demandé où est la 3e personne. Il me dit de ne pas m’inquiéter. On entre dans la chambre où il priait et je vois un cercueil avec une femme grasse et noire, un cadavre. J'ai d'abord paniqué mais je me suis laissée aller finalement. On a fait l'amour à trois dans ce cercueil et je suis rentré avec mon argent. Quelques jours après j’ai commencé à tousser, le sang sort de ma bouche et on ventre a pris du volume. Ma famille n’est pas au courant de cette situation. J’ai essayé de joindre le monsieur mais son numéro ne passe plus », a-t-elle tristement conclu.