Cameroun : l’épouse d’un grand ministre accusée d’avoir ‘sacrifié’ sa ménagère

La famille réclame justice

Wed, 11 Jan 2023 Source: David Touelli

La femme sur l’image, c’est MA MÈRE , de son nom ONGOLO MARIE JEANNE plus connue sur le sobriquet <>

Ex ménagère de Mme Lydienne Ngalle bibehe domicilié à Bonapriso-Douala.

Vous l’aurez sûrement deviné, Lydienne Ngalle Bibehe qui est l’épouse du ministre des transports camerounais Ernest Ngalle Bibehe.

Ça fait aujourd’hui exactement 150 jours que cette dame qui jadis était pleine de vie comme sur certaines images s’est retrouvée tétraplégique (Paralysie des quatre membres )

suite à un accident de circulation lors de ses innombrables aventures à servir sa dite « patronne » Mme Lydienne Ngalle Bibehe.

En effet, Dimanche le 14 Août 2022 a été une journée fatidique pour Ongolo Marie Jeanne qui s’est retrouvée sur la route de Kribi en retour sur DOUALA après une mission ordonnée par sa patronne comme autrefois sans ordre de mission officiel comme le veut la convention de travail.

Toujours prête à respecter les instructions, les moindres désirs, les caprices de sa patronne, Marie jeanne n’a pas su dire non pour une ènième fois sans savoir que cette fois là serait la fois de trop.

Durant ce trajet, Marie Jeanne a été victime d’un accident qui occasionna une double liaison de sa moelle épinière …pris sur le coup elle a été conduite à l’hôpital Régional d’EDEA qui de part son incapacité à gérer la situation recommanda l’hôpital laquintinie de DOUALA.

Celle ci s’est vue conduire en soins intensif à l’hôpital laquintinie de DOUALA où elle a subi une intervention chirurgicale pratiquement 24h après avoir été internée.

Chose curieuse, Marie Jeanne était la seule victime critique dans cet accident de voiture qui contenait 4 (quatre) personnes dont: la fille du ministre Ernest Ngalle Bibehe, le chauffeur du couple Ngalle Bibehe, un inconnu dont la provenance était douteuse et nul ne connaît l’identité et enfin Ongolo Marie Jeanne.

Tous dans la voiture du couple Ministériel Ngalle Bibehe!

N’était ce pas son jour de chance ? Nous nous en tiendrons à cette hypothèse.

Une fois rendu à l’hôpital laquintinie, l’intervention s’est déroulée dans de bonnes conditions, Marie Jeanne est sortie de la salle d’opération ceci faisant tout le bonheur de la famille…C’est sans doute un moment de réjouissance précoce parce que nous n’étions qu’au début du calvaire.

Après sa sortie du bloc opératoire, sous instructions du médecin traitant qui est intervenu sur son opération, elle a été internée dans un pavillon VIP j’ai nommé <> de l’hôpital laquintinie étant donné son état de santé précaire et très instable.

Les mots du médecin traitant était je cite:

<>

D’un coup nous avons épousé l’idée émise par le médecin et avons suivi les instructions qui en découlaient.

Vraisemblablement cela n’arrangeait pas les affaires de Mme Ngale Bibehe qui je vous rappelle est sa patronne et la commanditaire de la présence de Marie Jeanne dans cette voiture ce jour.

Vous vous demanderez sûrement pour quelles raisons elle n’était pas d’accord avec l’idée du médecin traitant ? La réponse à cette question reste en suspend!

Cette hypothèse que Marie Jeanne soit dans un certain confront l’exaspérait au point de menacer la famille d’abandonner totalement ses responsabilités financières si Marie Jeanne ne se voyait pas mise hors de cette chambre VIP.

Conscient des réalités qui nous étaient imposées à la famille, nous avons décidé pour le bien de notre fille, sœur, mère, arrière grand-mère de participer financièrement au solde de la facture de cette chambre VIP qui d’après Mme Lydienne Ngale Bibehe ne méritait Marie Jeanne.

Cette hypothèse a catégoriquement été refoulée par cette dernière disant qu’elle ne veut pas entendre parler de « VIP ».

A défaut nous ferons comme bon nous semble.

Voilà les mots de Mme Lydienne Ngale Bibehe, cette femme qui s’est qualifiée ‘’d’humaniste’’.

Après plusieurs <>, plusieurs <> Marie Jeanne s’est vue passer exactement 1 (un) mois à l’hôpital Laquintinie, 1 (un) mois de supplice et dures épreuves tant pour la victime que sa famille.

Un mois durant lequel la dite prise en charge par l’assurance du véhicule accidenté qui je rappelle appartient au couple ministériel était d’une présence clignotante.

Un mois durant lequel la phrase la plus répandue de cette assurance était <>.

Ce remboursement qui jusqu’à nos jours est toujours en attente.

A sa sortie médicale de l’hôpital laquintinie deux hypothèses ont été prescrites par le médecin traitant de Marie Jeanne pour la suite de sa convalescence:

-Être internée de façon indéfinie au centre des handicapée d’Etoukebe cis à Yaoundé- pour sa rééducation.

-Suivre sa convalescence à domicile avec l’aide d’un kinésithérapeute qualifié accompagné des appareils favorisant son rétablissement.

Sans surprise Marie Jeanne s’est blottie sur la deuxième option non seulement pour être proche des siens mais aussi pour ne pas hypothéquer l’avenir d’un de ces 4 (quatre) enfants qui se serait vu embarqué avec elle afin de veiller sur elle jours et nuits jusqu’à son rétablissement qui est de période inconnue.

Vraisemblablement le choix de Marie Jeanne n’était pas celle de sa patronne Mme Ngale Bibehe qui s’est drastiquement opposée à ce choix et a souhaité IMPOSER le choix de l’exil pour Etoukebe.

Pourquoi Mme Ngalle devrait t’elle imposer un choix à une victime après un pareil accident ?

La réponse à cette question reste en suspend.

Pour une raison financière ?

Ce n’est sûrement pas le cas, parce que tenez vous tranquille vous n’êtes pas au bout de vos interrogations.

Fort surpris de cette farouche opposition, nous, famille de Marie Jeanne avions proposé, pour montrer notre bonne foi mais surtout notre désir de voir notre bien aimée retrouver la joie de vivre, contribuer à l’achat des appareils médicaux prescrits par le médecin traitant de Marie Jeanne.

Visiblement ce n’était pas le fond du problème étant donné que Mme Ngalle Bibehe ne voulait rien savoir de cette deuxième option.

Elle décida donc de nous abandonner le cas Marie Jeanne Ongolo dès sa sortie de laquitinie sous prétexte que la famille n’a pas voulu marcher selon sa volonté.

Une volonté qui était celle de séparer Marie Jeanne des siens afin de faire valoir le complexe de dominant et dominé ?

La réponse à cette question reste en suspend.Sans relâche après d’incessants aller-retour à l’hôpital du fait de sa convalescence balbutiante mais surtout pris au dépourvu face aux dépenses la famille décida d’engager une nouvelle manœuvre avec Mme Lydienne Ngalle Bibehe afin qu’elle puisse apporter son soutien sur le cas Marie Jeanne Ongolo.

Tout porte à croire qu’une affaire où l’accompagnement de la victime était une légitimité selon les normes s’est transformé à un jeu de doléances !

La réponse de Mme Lydienne Ngalle Bibehe sera des plus surprenantes et abjects.

Celle ci nous demanda ( aux enfants de Marie Jeanne Ongolo) de lui adresser une lettre à l’intérieur de laquelle nous exprimons notre besoin accable d’aide où nous signerons par la suite et additionneront nos Cartes Nationales D’identités.

Au cas contraire elle ne bougera pas d’un poil.

On se croirait dans une demande d’emploi !

Ce fût le tournant crucial de cette affaire dès lors que nous avons manifesté la réticence face à cette demande.

De là donc Mme Lydienne Ngalle Bibehe décida de fermer définitivement la porte de soutien pour le cas de Marie Jeanne.

Et c’est ainsi que Ongolo Marie Jeanne jusqu’à nos jours est abandonnée à mon sort et sa famille dans un état de paralyse à 80%.

Avait-elle demandé à en être là?

Sûrement pas !

Loin de son caractère humaniste comme elle a osé le dire dans un interview sur une chaîne de média où elle essayait de se blanchir tant bien que mal, Mme Lydienne Ngalle Bibehe remplis d’audace profane des propos mensongers selon lequels Marie Jeanne n’a pas été victime d’un accident de travail.

Comment qualifierait-on ce type d’accident dans ce cas ?

La réponse à cette question reste en suspend.

Marie Jeanne s’est-elle retrouvée là-bas comme par magie ?

Que faisait Marie Jeanne dans la voiture du couple Ministériel dans ce cas ?

Marie Jeanne a t-elle une relation d’accointance avec le chauffeur du couple Ministériel et la fille du Ministre Ngalle Bibehe pour se retrouver là-bas avec eux?

Au travers de toutes ces interrogations, nul n’aura besoin d’un quotient intellectuel à Einstein pour savoir que Mme Lydienne Ngalle Bibehe a pris un vilain plaisir à se prêter à un jeu de mensonge face aux caméras. Elle qui est une femme d’affaire/politique et censée être un modèle pour la jeune génération féminine.

C’est bien triste ! ! !

Elle ne s’est pas arrêtée là, elle a osé dire que la famille lui réclame <> d’argent pour le cas de la victime Marie Jeanne.

A votre avis, combien vaut la vie d’une mère de quatre (04) enfants qui sont remplis de vigueurs, en âge de rêver d’un futur meilleur pour leur maman et quatre (04) petits enfants qui n’ont pas jusqu’ici bénéficié de l’amour que leur grand-mère aurait pu leur apporter ?

Pour moi ? Cela n’a pas de prix.

AUCUN PACTOL N’A ÉTÉ RÉCLAMÉ A Mme LYDIENNE NGALLE BIBEHE ! ! ! !

Si réellement nous auront voulu <> selon son terme mentionné aurons nous pris toutes ces initiatives de contribution pour le bien de notre fille, sœur, mère et grand-mère ?

Aurons nous dépensé cet argent qui jusqu’ici n’a pas été remboursé par l’assurance ?

Sûrement non !

Nous n’aurons pas peur de crier sur tous les toits afin de revendiquer ce qui nous revient de droit, qui est la santé et le rétablissement total de notre fille, sœur, mère et grand-mère et cela couvert par une prise en charge TOTALE des concernés.

L’époque où la peur était maîtresse de nos émotions est finie !

L’époque où la muselière était notre objet par excellence à contre cœur est finie !

L’époque où le sentiment d’infériorité prédominait dans nos pensées est finie !

Quitte à endurer le pire c’est avec bravoure et sans relâche que nous le ferons !

Nous ne mandions rien auprès de Mme Lydienne Ngalle Bibehe mis à part notre dû.

Ce que nous souhaitons sont les choses suivantes:

-La reconnaissance de cet accident comme accident de travail

-La prise en charge TOTALE, je répète TOTALE du cas Marie Jeanne Ongolo jusqu’à son rétablissement.

Aujourd’hui c’est Marie Jeanne qui est victime de ce monde où les bourgeois prétendent avoir le contrôle absolu sur tous les aspects de la vie, demain ça peut être votre proche.

Il est grand temps de dénoncer cela d’une seule voix!

Je vous appelle à un maximum de Like, commentaires et partage sur cette publication afin que justice soit rendue.

Auteur: David Touelli