Comment l'ambassadeur Etoundi Essomba a réussi à rendre le personnel camerounais persona non grata aux États-unis

Henri Etoundi Essomba Cameroon L'ambassadeur est au coeur des accusations

Fri, 11 Aug 2023 Source: Boris Bertolt

Les États-unis donnent 30 jours aux diplomates camerounais qui ont plus de 5 ans aux États-unis de quitter le pays dans 30 jours. La décision du département d’Etat est parvenu à l’Ambassade concerne presque toute l’ambassade du Cameroun car certains ont plus de 20 ans à l’Ambassade. Les États-Unis leur demandent simplement et purement de rentrer chez eux. On apprend que c'est l'ambassadeur qui a réussi à rendre le personnel camerounais persona non grata aux États-unis.

Depuis bientôt plus d’un an tout le personnel administratif doit quitter les USA, ils n’ont plus de visa et le département d’Etat leur a demandé de quitter le territoire. Mais comme ses deux fils sont dans la liste, il a laissé l’Ambassade du Cameroun être le creuset des sans Papiers qui passent leur temps à monnayer les services des visas, malgré le evisa.

Un lugubre personnage qui n’a jamais su, ni pu protéger ses collaborateurs et dont les forfaits sont applaudis parce qu’il fait travailler la fille du plus fort du pays.

Voici donc que c’est le tour des diplomates… C’est l’Amerique fort de son ingérence habituel dans cette Ambassade, qui a perdu toute personnalité, a d’abord bloqué le compte bancaire, asphyxiant ainsi tous les recrutés Sur place. Faut-il le préciser qui misère sans assurance, ni aucune couverture, au Pays des droits de l’Homme.

Depuis un an, les diplomates sont sous la menace de départ, leur ambassadeur ne bronche pas, le Cameroun ne bronche pas, et voici que la décision d’interrompre les accréditations est tombé comme un couperet… Mais bientôt, fort de ses forfaits et frasques, c’est lui qu’on va nommé demain l’homme des sales besognes …

Je vous l’avais dit il y a quelques années, on attend qu’il ferme l’ambassade avant de comprendre - La honte ! Tout cela avec la bénédiction de son parrain, l’homme à la punk.

Auteur: Boris Bertolt