Confidentiel: la peur s’empare de l’élite Bulu autour de Paul Biya

Des évènements récents révèlent la panique qui s’est emparée du clan Bulu au pouvoir au Cameroun. Les actes posés par cette mafia montrent comment ses membres les plus en vue redoutent la perte des postes, de l’argent de la jouissance et surtout la perspective de rendre des comptes pour les crimes économiques et sectaires, les massacres des Nordistes en 1984 et le génocide actuel en Ambazonie.

Le gouvernement de ces criminels vient de publier la liste des activistes anglophones dont il exige l’extradition sinon l’assassinat. Un groupe d’agents tueurs vient d’être dépêché en Europe et aux U.S.A pour cette mission.

À Bruxelles ils sont déguisés en stagiaires/étudiants mais la diaspora anglophone a juré d’envahir les ambassades du Cameroun pour se venger au cas où un seul de ses membres serait tué ! Il y a quelques mois l’équipe du colonel Bamkoui devait se rendre à l’étranger pour assassiner les activistes francophones parmi lesquels Rémy Ngono, Patrice Nouma, Boris Berthold, Junior Zogo…etc.

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Ils ont eu la vie sauve - provisoirement ! – parce que le projet avait été dénoncé dans les réseaux sociaux. Un commando envoyé par Mekoulou Mvondo de la C.N.P.S – neveu de Paul Biya – a failli tuer le journaliste Roger Tchuilé à son domicile de Yaoundé. Il avait dénoncé les vastes détournements et dépenses extravagantes de ce Directeur de la C.N.P.S.

L’autre dame Bulu, qui vient d’être discrètement évacuée en Europe pour se soigner, a inondé les téléphones portables des Camerounais de messages menaçants leur intimant l’ordre de s’identifier car leur régime voulait écouter et surveiller les appels de tous les citoyens mécontents rongés par la pauvreté. Cette même Bulu venait d’accumuler des milliards en dirigeant la douane camerounaise pendant plusieurs années.

La collecte des fonds pour le foireux plan humanitaire destiné aux anglophones a mis en vedette Fame Ndongo avec un record de vingt (20) millions versés ! Ce brave Bulu, éternel ministre de l’enseignement supérieur, avait brillamment détourné une partie des 75 milliards empruntés pour acheter les faux ordinateurs Paul Biya.

Amougou Belinga, autre bandit propriétaire de la chaîne de télévision Vision 4 mille collines, a exhibé son soutien pour ce clan en versant devant les caméras de sa télévision ses modiques cinq millions. L’ancien prisonnier et voleur Atanga Nji va gérer cet argent des élections.

Le recordman de la jouissance, expert en corruption et tribalisme, a nommé son fils adoptif Louis Paul MOTAZE au ministère des Finances pour vérifier si les caisses de l’État étaient réellement vides. Hélas, ces caisses sont plus vides ! Sous le couvert du plan humanitaire, on collecte de l’argent pour la réélection du chef de la mafia Bulu.

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Les hurlements poussés par ces fossoyeurs du Cameroun lorsque l’ambassadeur américain a conseillé à Paul Biya de prendre sa retraite révèlent le désarroi de ceux-là qui cherchent déjà à se refugier à l’Étranger ! Chacun au Cameroun aura son tour chez le coiffeur. Les Bassa et les Bamiléké ont payé le prix fort en vies humaines pour cette fausse indépendance dont jouissent les Bulu. Les Nordistes ont été massacrés pour avoir voulu reprendre le cadeau qu’Ahidjo avait remis à Paul Biya.

Les criminels français, qui pillent le Cameroun, aident Paul Biya à massacrer les Ambazoniens pour le pétrole de Bakassi. Nos frères Bulu, s’ils veulent sauver leurs vies en évitant la vengeance des autres Camerounais appauvris par les détournements massifs de l’élite Bulu, doivent voter contre Paul Biya et rejoindre tous les patriotes dans le boycott des marchandises et des services des entreprises françaises implantées au Cameroun. Le Cameroun appartient aux Camerounais et non au clan Bulu et à ses complices français.