Des pièces de monnaies de CFA
Selon l'ancien candidat à la Présidentielle Camerounaise de 2018, Etonde, il y a actuellement une crise de la monnaie au Cameroun.
"Pas de pièce de monnaie en circulation dans le pays.
Cent francs CFA (L'OBJET DE TOUTE LES TENSIONS) 100 Francs CFA.
Un pays qui se meurt, résultat d'un politique économique nulle et immature. Chaque jour, les citoyens sont frappés dans leur porte monnaie et dans le panier de la ménagère par un tout de passe-passe des incompétents au affaires au Cameroun.
Personne ne sais où la monnaie est passée, les pièces de 100, 50, 25, 10, 5 francs CFA ne circulent pas. Du coup par jours une centaine de millions de petites opérations entre les petits commerces sont annulées. Et comme dans ces contrats régissant l'économie informelle le socle de toute stabilité ne se font pas.
La macro structure de l'économie est plombée. Les grandes entreprises ne peux plus recevoir le même flux de devise qui devrait être collecté pour revenir dans le secteur tertiaire encore en implémentation.
Mais les véritables dégâts sont perceptibles à tous les niveaux : grosse inflation, grosse crise économique silencieuse, perte de la confiance, mort et destruction des startups, fuites des cerveaux, misère et insécurité,... des énormes tensions sociales, les gens en viennent facilement aux mains, renforcement de l'inertie d'une élite d'arrivistes qui n'ont rien compris aux préceptes comme: la Nation, l'Etat, l'intérêt général, le progrès et la réussite collective.
Mais à qui profite ce bordel ?
Qui contrôle la monnaie mobile qui se fait une alternative ou même une "instigatrice" de ce malaise ?
Qui était charger de s'assurer que la monnaie circule ?
Pourquoi ne le fait-il pas ?
Il s'occupe de quoi ?
Et celui qui lui donne le mandat de rester à un poste aussi sensible à ne rien faire en pense quoi ?
Et nous le peuple? Combien comme moi prenons un peu de nos datas pour dénoncer ?
Ces gens aux affaires au Cameroun savent que le peuple est plus concentré à regarder les statuts sur les réseaux sociaux. À regarder la vie des habitants des autres nations, où des comédiens et à rire de leur future collision à la misère extrême.
N'a-t-on pas lassé assez faire?
Quand prendrions nous notre destin en main ?"
