Destabilisation du Cameroun: voici la mission cachée de l'ONG 'Médecin Sans Frontière'

Le ministère de la défense du Cameroun dans un communiqué publié ce jour incrimine formellement l’ONG MSF d’être complice des terroristes Ambaboys qui sèment mort et désolation dans les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest. Qu’est ce qui peut expliquer la complicité des ONGS internationaux dans des opérations de déstabilisation des Etats africains ?

Depuis 2014 , le Cameroun n’a eu de cesse de décrier les actions nocives des ONG dites internationales sur son sol. Human Right Watch , Amnesty International, MSF et autres ont toujours été soupçonnés par le gouvernement camerounais et certaines organisations de la société civile comme étant complice des entités terroristes qui mènent dans activités criminelles à l’Extrême Nord, au Nord-Ouest et au Sud-Ouest du pays. le 29 Décembre 2019 le ministre de l’Intérieur camerounais dénonçait les activités d’une organisation humanitaire internationale qui avec ses ambulances faisait transiter les armes vers les terroristes que ceux-ci préfèrent souvent qualifier de séparatistes. Malgré cette dénonciation avec des preuves formelles, la communauté occidentale est restée muette.

Le Cas Médecin Sans Frontière, une récidive de trop

Le 07 Aout 2020, un membre de cette ONG était tué dans la région du Nord-Ouest, elle fut néanmoins rappelée à l’ordre par le ministre camerounais de l’Intérieur et celui des Affaires Etrangères. Il lui a été demandé le respect de la neutralité dans ses opérations en zone de conflit. Le 08 Décembre 2020, le gouverneur de la Région du Nord-Ouest signait une décision suspendant cette ONG de son territoire de commandement. En effet, les autorités locales de la Région avait découvert que MSF n’accordait leur assistance qu’aux terroristes violents et pas aux autres civils et militaires. Cette enquête a été menée auprès des hôpitaux de la région. D’autres illustrations sont devenues légions. Le dernier cas en date est de la scène qui se déroule le 26 Décembre au petit matin lorsqu’après une cinglante défaite suite à une attaque perpétrée la veille deux terroristes grièvement blessés vont se réfugier dans la brousse et appeler leur complice Sieur Kalé Mayur Milan responsable de l’Antenne MSF de Manfé, Département de la Manyu dans le Sud-Ouest. Le Médecin des terroristes va prendre son ambulance pour aller au secours de son pseudo Général « Moving Star » avec pour objectif de l’exfiltrer de la zone sécurisée. Cette opération clandestine a été stoppée au Check-point de NGUTI par les forces de Défense et de sécurité. Le Terroriste et ses complices du MSF sont désormais entre les mains des autorités en attendant d’être présentés au tribunal militaire.

Qui se cachent derrière ces ONG ?

Les ONG internationaux sont de véritables boulets dans les chaussures des Etats africains. Ce sont des entités qui apportent des projets sociaux louables à proposer aux Etats africains pour les aider à se développer. Curieusement ces entités ont des modes de financement ambigus et parfois très peu traçable dans le fond. Ils ont des donateurs. En clair c’est à partir de ces donateurs que s’élabore leur cahier de charges qui diffère d’un Etat à un autre. C’est ainsi qu’il se donne pour rôle de préparer l’opinion internationale à accepter la déstabilisation du pays d’accueil. Ils commencent par alerter l’opinion sur l’abus des droits de l’homme et les médias mensonges financés par les mêmes donateurs « bienfaiteurs » relaient ces tissus de mensonge dans le monde entier. Puis c’est le tour de la fameuse communauté internationale de prendre le relais en pondant des résolutions et des mises en garde basées sur des informations approximatives mais en toute connaissance de cause. C’est donc le moment pour les suppos endogènes de prendre le relai. Ces suppos sont généralement des personnalités à la morale douteuse, imbue et prétentieuse capable de vendre leur pays pour arriver au pouvoir. Ceux-ci se présentent comme des « interlocuteurs sérieux » pour prendre la tête du pays. Puis les sanctions économiques qui vont par la suite asphyxier le pays et aboutir à une insurrection populaire.

Le Cameroun, Une Exception d’Ecole

Le Cameroun est entré dans ce cycle de la déstabilisation depuis 2011 date de l’avant dernière élection présidentielle. Malgré la volonté populaire des camerounais de continuer avec Paul Biya comme leur président, la diversité des partenaires, la non reconduction des accords de Défense de 2009 rendaient désormais Paul Biya Incontrôlable. L’Occident perdait progressivement la main au Cameroun au profit des partenaires de tout ordre. Durant 10 ans Paul Biya a manœuvré pour que son pays soit un roc invincible. Après Boko Haram , c’était autour de la crise dite anglophone mais en réalité une autre forme de terrorisme maquillé en velléités séparatistes. En 2018, c’est un autre trançafricain qui décidait de vouloir par des mécanismes insurrectionnels prendre le pouvoir tout ceci pour empêcher que la souveraineté du Cameroun ne soit acquis le 30 Juin 2020 et le 26 Décembre pour la souveraineté monétaire. Le Cameroun est une illustration d’un Etat où tous les plans de déstabilisation ont échoué. MSF vient de franchir la ligne rouge il doit être expulsé comme cela se fait pour une vulgaire organisation dangereuse