Ils sont eux-mêmes incapables d'avoir un dialogue inclusif entre eux
Paul Biya instruit le dialogue, parallèlement, il entretient la déstabilisation de la région avec sa milice. Ils détruisent, brûlent les maisons, les villages se vident. Le bilan de cette guerre est alarmant, parce que l'économie de la guerre est rentable pour tous les membres du CBI (Club des Bêtisiers Incompétents)
La communauté internationale appelle à la paix et au dialogue inclusif mais n’entreprend aucune initiative pour stopper cette guerre. Les Nations Unies appellent à la paix et au dialogue mais se camouflent derrière les communiqués diplomatiques qui ne changent jamais depuis la création de cette institution.
La diaspora camerounaise, plus précisément les activistes actifs veulent le dialogue inclusif mais sont eux-mêmes incapables d'avoir un dialogue inclusif entre eux. Trouvons l'erreur, et la solution est dans l’erreur. En attendant, préparons-nous à la résistance contre la milice de Mr Biya.
Les vrais patriotes doivent se préparer à une véritable résistance.
La plupart des dirigeants camerounais ont expatrié leurs enfants en Occident, où ils hébergent leurs comptes bancaires et les biens exfoliés du peuple camerounais. Ils exposent les camerounais à la misère et aux méfaits de la guerre. Le peuple camerounais vit comme à l’époque de l'Antiquité, de la Préhistoire, ou l’âge de la pierre taillée.
Ils sont touchés par une pénurie d’électricité depuis plusieurs semaines. Quel dommage pour un pays riche, regorgeant de nombreuses ressources naturelles. Le monde évolue avec nous mais se développe sans nous.
Le Cameroun meilleur est le Cameroun virtuel de Facebook où chacun raconte sa vie très souvent fausse et des âneries concernant la vie des autres sans les connaître, il est grand temps de s’extirper/sortir du virtuel.
Que les vrais patriotes se préparent à une véritable résistance pour sauver l’honneur de la patrie.
Mes amis, j’aime la paix, j’aime aussi la résistance, conscient que la violence peut être la dernière chance. Alors, ces dirigeants Camerounais, qui persistent et refusent de comprendre le langage de la démocratie, je pense que celui de la force doit leur être automatiquement imposé comme une prescription médicale.
Car, je suis convaincu qu’ils sont malades, atteints d’une pathologie grave dont le nom reste à ce jour introuvable dans les dictionnaires de la médecine moderne, encore moins traditionnelle. Seul l'urgence de l'action sur la terre natale libérera le peuple camerounais, otage d’un clan depuis 37 ans.
Les dictateurs n'obéissent jamais au dialogue avant la guerre. PREPARONS NOUS A LA RESISTANCE