Le journaliste Benjamin Zebaze dezingue violemment Djeukam Tchameni. Il le qualifie d'homme qui n'a pas grand chose entre les jambes. Il laisse une analyse où il revient sur sa relation avec Djeukam.
DJEUKAM TCHAMENI: L'HOMME QUI N'A PAS GRAND CHOSE ENTRE LES JAMBES.
Alors qu'il m'a bloqué depuis des années, j'ai reçu par un frère un écrit dans lequel Djeukam Tchameni réagit sur un vieux texte que j'ai posté il y a longtemps évoquant l'impossibilité pour Franck Biya, de devenir président de la République du Cameroun.
Qu'il ne soit pas d'accord avec moi est son droit le plus absolu: mais jamais je n'accepterai que le premier crétin venu m'insulte impunément, alors que j'avais fini par oublier sa triste existence.
Je prie nos lecteurs respectifs d'apprécier la methode: on bloque un individu et on l'attaque violemment sous un texte, ne lui laissant aucune possibilité de répliquer.
UN MATAMORE...
En fait, DJEUKAM n'est qu'un matamore, c'est à dire une espèce de "faux brave; un vantard, un fanfaron" et surtout un gros lâche qui n'est habile que pour envoyer les enfants des autres au "casse pipe" comme dans les années 90 avec son groupuscule quasi terroriste "Cap Liberté"...
...QUI NOUS DOIT DES EXPLICATIONS
Mais tout cela ne peut masquer certaines questions qui tournent autour de ce triste personnage comme autant de boules puantes:
- Pourquoi et comment un organisme contrôle par le pouvoir a pu financer pour des centaines de millions, son activité de "vissage" de pièces d'ordinateurs importés ?
- Pourquoi a t il réellement été mis en prison dans les années 90 ?
- Pourquoi n a t il jamais contesté les propos selon lesquels le pouvoir avait voulu combattre un entrepreneur BAMILÉKÉ alors qu'il sait tres bien que c est faux ?
- Que sait il de l impression et de la vente des cartons rouges qui ont causé beaucoup de dégâts ?
- Que sait il du quasi lynchage de mon ami Lapiro de Mbanga à la salle de fête ?
- Comment sa famille a t elle pu obtenir des autorisations et exercer impunément ses activités dans l éducation alors que nos activités étaient sans cesse fermées ?
- Que pensent de lui les étudiants pourchassés dans les années 90 qu'il a fait transité par le Burkina Faso ?...
J ai les réponses à ces questions mais étant donné que nous avons été amis, moralement je ne peux y répondre.
Monsieur DJEUKAM Tchameni doit savoir que ce n'est pas de ma faute si son rêve fou, ne s'appuyant sur rien, de devenir président de la République avec le soutien des putschistes Burkinabe a échoué.
Son ego démesuré est ce qui l'a perdu au point où je le crois incapable de gagner une élection dans son propre domicile.
Benjamin Zebaze
Nb: qui se ressemble s'assemble