Ils se nourrissaient des fonds publics. Ils pillaient les caisses de la Communauté urbaine. Il n’y a plus moyen. Emmanuel Nzété a fermé tous les tuyaux de la bouffe. Ils sont malades. Ils ont faim. Mais, comme personne ne peut avoir le courage de parler directement au Doyen, ils versent dans la diffamation sur internet et dans les réseaux sociaux en se disant que le Vieux ne s’y connaît pas.
Or, ils ignorent que le Délégué diffuse directement des messages dans nos téléphones via SMS et que nous sommes désormais informés de tout. Preuve à l’appui. Vous savez que la CAN 2019 est dehors et les fonds C2D sont là. Les gens veulent bouffer mais, il n’y pas moyen. Ils insultent. Ce n’est pas fairplay !
Je m’appelle KAMDEM Dieudonné. J’ai 34 ans. Je suis mototaximan et c’est Emmanuel Nzété en personne qui a gracieusement célébré mon mariage au cours de la trentaine de mariages collectifs qu’il a célébrée à Bafoussam l’année dernière. Mille fois merci ! Nous étions en haut. C’était le plus beau jour de notre vie. Il faut le reconnaître et dire la vérité si l’on veut que le pays avance. J’ai lu des insanités sur lui et je ne peux pas laisser les gens dire n’importe quoi.
Certains pensent que Bafoussam est pour eux. Or, le temps-là est passé. Maintenant, Bafoussam c’est la transparence. Le Délégué du Gouvernement diffuse des messages directement dans nos téléphones et nous sommes informés de ce qui se passe au moins deux fois par semaines. Avant, on ne savait rien du tout. Maintenant, on sait un peu. Donc, que les gens cessent avec leurs histoires de manipulation. Avant de parler à Bafoussam maintenant, il faut soi-même montrer son bilan. Comme ça, on peut alors le comparer avec le bilan d’Emmanuel Nzété.
Voici la vérité que nous recevons par SMS. Si ce n’est pas vrai, alors libre aux détracteurs de démentir ! C’est n’est pas ça la démocratie ? Certaines personnes veulent nous gâter le pays pour rien ! En 2009, Emmanuel Nzété arrive à la tête de la Communauté urbaine de Bafoussam (CUB) lorsque ceux qui s’estiment chez eux et légitimes ont lourdement endetté et pillé la structure à hauteur de 1 019 366 000 (un milliard dix-neuf millions trois cent soixante six mille) francs CFA. Nous
connaissons la vérité maintenant. Si ce n’est pas vrai, alors que ces gens là démentent ! Certains ont pris l’habitude de penser que lorsqu’ils sont nommés à de hautes fonctions, c’est pour eux, leurs familles et leurs villages. Mais que non ! Maintenant que l’on ne peut plus piller Bafoussam, ça fait jaser. Ceux qui s’estiment chez eux et affirment que l’allogène Emmanuel Nzété occupe la place du village avait tellement pillé la CUB que le compte administratif n’était plus que de 330 347 237 (trois cent trente millions trois cent quarante sept mille deux cent trente sept) francs CFA alors qu’il était de 650 millions quelques années plutôt à l’époque de la défunte Commune Urbaine de Bafoussam.
Cela veut dire que ces gens-là avaient pensé qu’ils étaient là uniquement pour bouffer et n’avaient même pas pensé à générer un seul centime pour augmenter les recettes de la CUB. En 2017, Emmanuel Nzété a tout remboursé les dettes de la CUB. Il a tout payé. Et il a hissé le compte administratif à plus de 1 802 000 093 (un milliard huit cent deux millions quatre vingt treize) Francs CFA. Il faut être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître cela. Si ce n’est pas vrai, alors publiez nous alors des informations contraires à ces chiffres ! Ne vous contentez pas des ragots car, Nzété parle avec les chiffres et preuves à l’appui !
Emmanuel NZETE nous informe que lorsqu’il quittait les affaires en 1996 (il était alors maire de la défunte Commune urbaine de Bafoussam), il avait laissé plusieurs camions et engins : 5 camions benne, 2 pelles chargeuses, 2 niveleuses, 2 bulldozers, 2 tractopelles, 1 camion frigorifique, une voiture 505 Peugeot et 5 tracteurs agricoles. Il dit qu’à son retour en février 2009 comme Délégué du Gouvernement (soit 13 ans après), tous ces véhicules et engins étaient sous cale, entièrement pillés. Pire, le personnel communal était démotivé et en débandade car, leurs cotisations sociales n’étaient pas versées à la CNPS depuis plusieurs années.
Si ce n’est pas vrai, alors que les détracteurs nous apportent des informations contradictoires ! Je ne comprends pas pourquoi quelqu’un nous habitue à la transparence à travers la communication directe avec les citoyens et d’autres veulent nous ramener dans des diffamations gratuites et des affaires de tribus.
Avant, nous critiquions parce que nous ne savions pas. Maintenant que nous sommes au courant de tout, on ne veut plus de manipulation. Nous connaissons déjà pourquoi la construction des routes a pris du retard à Bafoussam. Ceux qui s’estiment chez eux n’ont pas entretenu la voirie pendant 13 ans, ont endetté la Communauté Urbaine et ont pillé les engins et autres véhicules.
Par conséquent, Bafoussam était la ville la plus sale de l’Ouest en 2009. Mais, avec Emmanuel Nzété, Bafoussam est devenu la ville la plus propre de l’Ouest selon les résultats de ce même concours organisé par les Services du Gouverneur. Lorsque certains disent qu’Emmanuel Nzété escroque les commerçants, ça me fait rire car, l’homme dont on parle n’est pas le genre qui a faim. En tant que bâtisseur, les commerçants sont ceux qui profitent le plus de lui. Regardez comment tous les grands marchés de Bafoussam sont devenus modernes.
Regardez comment les boutiques et autres espaces commerciaux dans les grands carrefours et les artères des voies principales sont bien construits à Bafoussam ! Les gens veulent même quoi ? Quelqu’un vous sort dans la boue et vous installe dans des bâtiments flambants neufs et vous l’insultez ? Certains Camerounais sont terribles !
Nous les mototaximen, on est content. Si j’ai mon permis A, c’est grâce à Emmanuel Nzété. Si je suis marié et responsable aujourd’hui, c’est grâce à lui. Je ne suis plus un acteur du désordre urbain comme avant. Les gens vont dire ce qu’ils veulent mais, c’est bien. Ce qui est bien est bien. Il faut que les gens arrêtent de manipuler le peuple. J’ai dit pour moi. Si quelqu’un a pour lui à dire, qu’il le dise et nous allons analyser ensemble. Merci beaucoup !