Dimanche, j'ai eu un échange plutôt anecdotique avec une des enfants gâtés du 'REmauvais'. Agitée telle une adolescente retardée, sans substance ni intellectuelle, ni humaine, elle tire l'essence de son existence dans le culot et l'arrogance de jeune zombifiée et perfusée à l'arrivisme de l'état condescendant.
Elle fait donc partie de ces mauvais jeunes dont le Cameroun devra très vite se débarrasser dans la nouveauté mouvante et patriotique du changement.
Particulièrement fière de son activisme pro régime, un peu comme pour payer une dette morale qui consiste à narguer le peuple pour prouver à ses mentors qu'elle sait les défendre, en fait, elle se bat pour ne pas perdre surtout le petit poste qu'elle a hérité de son oncle feu Joseph Owona le père des intellectuels les plus malhonnêtes du Cameroun, formés avec notre argent pour le servir que le modèle iconoclaste de la débauche intellectuelle.
Fatigué par le mépris qu'elle affiche envers le peuple, et le soutien qu'elle apporte à ceux qui commettent des exactions contre celui ci, , je lui ai écrit sur WhatsApp pour lui rappeler qu'elle était en train de soutenir le génocide contre les ressortissants des autres ethnies du Cameroun actuellement en cours.
Et qu'elle devait s'attendre à en payer le prix le moment venu. A l'heure du changement.
Habituée aux réflexes du régime tortionnaire de ses parents, son premier a été de m'envoyer des informations (miennes) personnelles profondément erronées disponibles sur la toile, comme éléments en sa possession pour me faire payer mon crime de lèse-majesté Majesté. Elle intimidait donc. Une petite fille sans cerveau qui croit m'intimider.
Lui rappelant qu'il y eût été plus facile pour elle de me demander mes informations authentiques, elle menaçait de saisir tous mes employeurs (pas moins que ça !) pour me faire licencier. C'est à dire qu'une petite fille au front long comme une tubercule de manioc de Mvengue, pense pouvoir me faire licencier de mes emplois en occident pour lui avoir dit qu'elle soutient le massacre d'un peuple par une dictature.
Puis, elle est passée à mieux, enfin, selon elle. Elle m'a dit qu'elle allait faire exterminer ma famille. Je lui ai dit que la famille était comme le Cameroun. Complexe. Grande. Vaste. Inconnue. Que, contrairement à ce qu'elle pouvait croire, chacun de nous, même les plus grands opposants, peit agir au Cameroun de lanière insoupçonnée.
Au Cameroun, une petite fille sans cervelle ne peut pas m'attaquer ni attaquer ma famille. Surtout que la sienne est plus connue encore.
Je lui ai quand même rappelé que si elle était intelligente, elle se serait rendue compte (de par mes informations disponibles) qu'elle écrivait ces choses sur WhatsApp. Sur un numéro de téléphone européen. Appartenant à un citoyen européen qu'elle était en train de menacer. Suffisant, je crois, pour la faire arrêter si jamais un jour, elle réussit enfin à mettre ses pieds chez moi en Europe.
Voilà la différence entre les enfants du régime RDPC et nous qui gouvernerons bientôt le Cameroun.
Dites donc bonjour à cette gamine. Elle s'appelle Nguini Linda. Dites-lui que la vie a des étapes. Travailler au sénat du Cameroun est à l'échelle 1. Je suis à l'échelle 20. De l'excellence et de la capacité de nuisance.
Faites lui lire ceci, pour que son front de petite tribaliste s'en retrouve un peu plus aplati. Le Cameroun survivra à ce régime.